Paul George se révèle au grand jour

Le swingman brille en l'absence de Danny Granger.

Paul George se révèle au grand jour
Si les amateurs de Top 10 connaissent surtout Paul George pour ses dunks rageurs, son petit shoot extérieur et son sens du devoir en défense en avaient fait l'un des rouages essentiels d'Indy la saison passée (12.1 pts à 38.5% derrière l'arc et 5.6 rbds de moyenne). Sur le point d'entamer sa troisième année NBA, à seulement 22 ans, l'arrière des Pacers pourrait profiter de son avant-saison réussie (17.5 pts et 6 rbds de moyenne) et de l'absence de Danny Granger pour prendre du galon, puisque ses prestations sont loin d'être passées inaperçues.
« Danny est actuellement absent et nous voulions que (Paul) joue avec plus d'assurance. J'ai pris une bonne décision. Il pourrait facilement shooter à 12 sur 18... Vous voulez vous appuyer en attaque sur des gars qui vont être efficients. Vous avez besoin de ce type d'expérience pour continuer de vous améliorer de la bonne façon. C'est pourquoi c'est presque une chance pour nous d'avoir à demander à Danny de prendre son temps (ndlr : avant de revenir) », a confié Frank Vogel, l'entraîneur des Pacers, à l'IndyStar.
Passé à deux doigts de l'exploit face au Miami Heat, le futur champion, il y a quelques mois, Indiana compte assurément sur la progression de son jeune swingman pour créer la surprise dans une conférence Est très dense.
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