« J’essaye de changer un peu la culture. Quand on pense à Los Angeles, on pense aux lumières, aux caméras, aux actions. Tout ceci est fun, c’est sûr. Mais au final, nous sommes jugés sur les victoires et les défaites », rappelle Beverley.
L’ancien meneur des Houston Rockets est connu pour son ardeur et sa hargne en défense. Il souhaite donc appliquer cette mentalité à toute l’équipe. Les Clippers devraient devenir des chiens de garde en défense.« J’essaye de changer les mentalités pour être une sorte d’équipe de cols bleus, de poil à gratter », explique-t-il.
Patrick Beverley risque d’avoir tout de même pas mal de boulot. Entre Blake Griffin, Danilo Gallinari ou Milos Teodosic, il ne dispose pas de joueurs très impliqués défensivement.