"C'est génial. Je suis ravi de voir un joueur incarner ce qu'était le jeu à l'époque, lorsque les grands étaient plus nombreux. De nos jours, ils veulent tous évoluer dans le périmetre et tirer à 3 points. C'est donc très plaisant de le voir se mettre dans la peinture et faire ce qu'il faut, tout en étant capable de faire face à son défenseur et de shooter s'il le faut", explique l'ancien joueur des Knicks sur Bleacher Report.La présence du grand Pat dans le staff est l'une des raisons du développement de Jefferson, notamment sur le plan défensif, si l'on en croit Steve Clifford le coach des Bobcats.
"Al a un instinct pour le jeu. On l'a toujours su en attaque, mais il prend également de bonnes décisions défensives. Maintenant, il sait quand aider, quand ne pas aider et quoi faire selon la situation. Il ne voulait surtout pas être un problème pour l'équipe à ce niveau là donc il a beaucoup travaillé. Patrick l'a beaucoup aidé dans ce sens avant et pendant la saison".7e de la Conférence Est, Charlotte affrontera Miami au 1er tour des playoffs. Sans poste 5 digne de ce nom, le Heat va devoir trouver une solution pour contenir Al Jefferson. La qualification ne sera sans doute pas aussi facile que prévu si les Floridiens le laissent s'exprimer comme pendant la saison régulière.