« Je suis ici pour aider l’équipe quand elle aura besoin de moi », a-t-il expliqué au New York Post. « Je veux être constant et jouer intelligemment. Dans cette ligue, il y a de grands shooteurs, de super athlètes. Mon rôle, c’est d’être un joueur intelligent et de rendre mes coéquipiers heureux. »Prigioni devrait être le troisième meneur de la rotation de Mike Woodson, derrière Raymond Felton et Jason Kidd, mais en attendant le retour de blessure d’Iman Shumpert, il pourrait bien grimper d’une place dans la hiérarchie si le coach décide d’associer Kidd et Felton dans le backcourt. Il pourrait ainsi montrer ce qu’il sait faire le mieux : mettre en place le jeu et faire jouer son équipe. Car s’il y a bien une chose que la saison dernière a apprise aux Knicks, c’est qu’ils ne peuvent s’en tirer qu’avec un vrai meneur sur le terrain.
« Il ne joue pas comme un rookie », a expliqué à juste titre Tyson Chandler au sujet de Prigioni. « Il sait qui il est et ce qu’il peut nous apporter. Il a une confiance en lui et une agressivité qui font la différence. »Au milieu d'une équipe faite essentiellement de vétérans et de joueurs un peu instables, il faut bien ça pour pouvoir exister.