- Le partage des revenus entre les joueurs et les propriétaires ne changera pas (entre 49 et 51% pour les joueurs selon les conditions) malgré la volonté du syndicat de faire grimper ce chiffre à 57%
- La clause d'amnesty qui permet aux propriétaires de couper le contrat d'un joueur sans sommation et sans avoir à supporter son salaire, va être supprimée à la demande des joueurs.
- Alors que le salary cap est passé à 94 millions de dollars par équipe cette saison, il devrait grimper à 103 millions de dollars.
- Pour les restricted free agents, la période de moratorium de 6 jours qui les empêche de valider leur signature immédiatement, devrait être supprimée.
- Dans le même ordre d'idées, les équipes n'auront plus que deux jours au lieu de trois pour s'aligner sur la proposition faire à un de leurs restricted free agents.
- A l'heure actuelle, les équipes ne peuvent pas faire signer d'extensions à des joueurs si leurs contrats originaux ont été signés il y a moins de trois ans. Dans le prochain CBA, ce sera possible après deux ans.
Contrats, one-and-done, salary cap : ce qui va changer dans le nouveau CBA
A priori, Adam Silver, les joueurs et les propriétaires vont réussir à éviter un lockout en signant un nouveau CBA. On vous explique les petites modifications qui vont être apportées à la version actuelle.
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