Nos 10 MVP des playoffs

Ils nous ont fait vibré et ont marqué de leur empreinte ces playoffs NBA 2019 qui viennent de s'achever. Voici nos 10 MVP de la post-saison.

Nos 10 MVP des playoffs

Eux aussi ont marqué ces playoffs de leur empreinte...

148 - LeBron James

Franchement, on ne l’a pas trop vu lors de ses playoffs, non ? Son moment fort des playoffs : son twittgame pendant la finale de Champion’s League. C’était bon de le voir aussi concerné et intense en finale.

102 - Russell Westbrook

Russell Westbrook a fait du Russell Westbrook. Comme d’habitude depuis le départ de Kevin Durant, ça a marché au-delà des espérances. Des points, des rebonds, des passes décisives, du trashtalk contre Damian Lillard, 40 tirs marqués sur 111 tentés en 5 matches, 23 balles perdues, 4 défaites pour une victoire, une nouvelle sortie au 1er tour et le dernier mot pour Dame, qui l’a lavé sur toute la série. T’as raison, Russ, ne change rien. Son moment fort des playoffs : Après son quasi triple double du Game 2 contre Portland, il s’est laissé aller : « La façon dont j’ai joué est inacceptable. » Sur le match suivant, il a réellement flanché : 33 pts à 11 sur 22, 11 pds et un +/- de +15. Heureusement, il s’est ressaisi dès le Game 4 pour finir la série en beauté.

91 - Kyrie Irving

A ce niveau de maladresse lors de la série contre Milwaukee, une seule solution : un chien d’aveugle. Son moment fort des playoffs : Alors que les Bucks étaient à un match des finales de Conf’, Kyrie Irving a fait très fort avec un 6 sur 21 au tir et un 1 sur 7 à trois-points au Game 5. Quasiment comme au match précédent (7 sur 22 et 1 sur 7). Sauf que son niveau d’implication a atteint des sommets. Alors qu’au match 4 il avait compilé 10 pds, 6 rbds et 9 lancers obtenus pour compenser, il n’a pris qu’un rebond, lâché qu’une passe et été cherché que deux lancers…

75 - Ben Simmons

Ah pour sortir avec des Jenner il y a du monde, mais quand il faut prendre un shoot un tant soit peu extérieur, même à 5 mètres, y'a plus personne. Son moment fort des playoffs : Quand il a mis ce tir presque au niveau de la ligne des lancers-francs contre les Celtics. Il a dû avoir le vertige tellement c’était loin, mais il l’a mis !

67 - Chris Paul

A 34 ans, Chris Paul est certes sur le déclin. Mais il a toujours du ballon, comme il le prouve depuis son arrivée dans le Texas à chaque fois que James Harden est absent. Malheureusement pour lui, le Barbu est rarement absent. Et il aime beaucoup la balle. Au point qu’en deux ans, aucune alchimie entre les deux stars n’a été construite. Pas totalement sa faute, bien sûr, mais le fait est que ses 17 pts, 5,5 pds et 27% à trois-points (pas terrible du tout quand on connaît le jeu de l’équipe) sont ses pires en carrière. Et totalement indigne des plus de 35 millions qu'il engloutit chaque année. Les Houston Rockets l’ont fait venir pour qu’il fasse franchir un cap à l’équipe, et bah bravo (Daryl) Morray. Son moment fort des playoffs : Chris Paul a empêché Stephen Curry de venir s’entraîner la veille du Game 6. De loin son meilleur stop défensif de la postseason.