Ce n’est pas ce qui va empêcher les dirigeants des New York Knicks de dormir, ni même les décourager de recommencer. Eux ou n’importe quel GM de la ligue suite à la sanction infligée par la NBA en conséquence des agissements du front office de Manhattan lors des négociations avec Jalen Brunson l’été dernier.
Le meneur était libre sur le marché mais l’enquête a finalement montré que les Knicks l’ont contacté avant la date autorisée. Comme le font toutes les franchises depuis des lustres. En conséquence, NY va perdre un second tour de draft en 2025. Une sanction légère en comparaison avec la possibilité de maximiser les chances de signer un joueur comme Brunson, qui tourne à 20 points par match cette saison.
Les Knicks lui ont offert 104 millions sur 4 ans, au grand regret des Dallas Mavericks, son ancienne franchise. Les Texans ont eu l’impression de ne pas pouvoir vraiment lutter sur un dossier visiblement déjà bouclé en amont. L’ironie, c’est qu’ils auraient bien besoin du jeune joueur aujourd’hui.
Peut-être qu’il aurait tout de même choisi New York. Ce n’est pas cette investigation ou cette sanction qui va ralentir le « tampering » en NBA. Les Knicks ont encore de nombreux tours de draft, certains appartenant d’ailleurs aux… Mavericks. Ils avaient été récupéré en l’échange de Kristaps Porzingis.
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