« C’est important. C’est parfois difficile pour moi parce que j’avais l’habitude de jouer 30 minutes par match », a-t-il confié au N.Y. Post. « Maintenant, c’est entré dans ma tête. Si je joue 10 minutes, je dois essayer de faire de bonnes choses sur une courte période. Mercredi, j’ai eu plus de temps de jeu donc j’ai été meilleur. Quand j’ai commis des erreurs, ça m’a laissé une chance de les réparer. C’était comme quand je jouais en Europe. »Prigioni doit maintenant garder la forme même si ses minutes ne sont pas garanties. Il a donc fait appel à un préparateur physique qui le suit au quotidien afin qu’il reste en condition et qu’il soit le plus efficace possible quand il sort du banc. Et même s'il admet être parfois frustré, il s'attachera à jouer le rôle qu'on lui donne pour le bien de l'équipe.
« Certains jours, c’est difficile parce que je veux jouer. Je suis un compétiteur même si je suis très heureux sur le banc. Je veux être sur le terrain. Mais nous avons de supers meneurs. Raymond joue beaucoup. Quand Jason joue, c’est pareil. Je suis face à de grands joueurs. Je n’ai rien à dire. J’essaie d’apprendre d’eux et quand j’ai une chance je dois la saisir. »Prigioni tourne actuellement à 3,2 points et 2,9 passes par matches. Au vu de ses dernière prestations, il pourrait prendre plus d'importance dans la rotation des Knicks. L'efficacité de son association avec Felton contre les Bucks aurait même déjà donné des idées à Mike Woodson. Affaire à suivre...