De quoi redonner confiance aux Brésiliens qui présenteront l'un des meilleurs secteurs intérieurs de la compétions avec la présence de Nene mais également de Tiago Splitter et d'Anderson Varejao. Et s'il a souvent été reproché au joueur de 31 ans de se cacher derrière ses blessures pour ne pas rejoindre la sélection, il n'utilisera pas comme excuses les différents pépins physique qui l'ont empêché cette année encore de réaliser une saison pleine (seulement 53 matches disputés).« J’ai une responsabilité et jusqu’à ce que Dieu me dise d’arrêter, ce sera toujours le cas. J’ai une responsabilité. De nombreux enfants me regardent donc je dois agir comme il faut », a-t-il expliqué au Washington Post.
« C’est toujours très physique et vous ne savez jamais comment votre corps réagira le lendemain. Mais vous devez toujours essayer de donner le meilleur. Les blessures font partie du jeu. Parfois on me dit que je me blesse souvent. Evidemment, on prend des coups. C’est un sport de contact. Ce sont des choses qui arrivent. »La motivation de Nene, une excellente nouvelle pour le Brésil. Sans doute une moins bonne pour ses adversaires, à commencer par la France, placée dans le même groupe que la Seleçao en compagnie de l’Espagne, la Serbie, l’Iran et l'Egypte.