"C'était à Peoria, je crois. Je cherchais mes coéquipiers dans un hôtel. J'ai frappé à la porte et tout est devenu calme. Je me suis annoncé et on m'a laissé entrer. Presque toute l'équipe était là.
J'y ai vu des choses que je n'avais jamais vues de ma vie, puisque j'étais encore un gamin. Il y avait des lignes de coke par ici, des fumeurs d'herbe par là-bas, des femmes de ce côté-là...
La première choses que j'ai dite c'est : 'OK les gars, je me casse'. Je ne pouvais m'empêcher de penser que si la police arrivait à ce moment-là, j'aurais été considéré comme coupable au même titre que toutes les autres personnes dans cette pièce.
A partir de ce moment-là, je me suis retrouvé plus ou moins tout seul", raconte-t-il dans des propos rapportés par USA Today.
Si Michael Jordan a eu du mal à cacher quelques vices durant sa carrière - celui du jeu compulsif notamment - il a eu le mérite de ne pas se retrouver dans des histoires de ce type-là.