Les pronos de BasketSession pour la saison 2023-2024

On sort la boule de cristal pour tenter de vous prédire l'avenir de cette saison NBA 2023-2024, avec les trophées individuels et les vainqueurs.

Les pronos de BasketSession pour la saison 2023-2024

Comme à chaque début de saison, les membres de la rédaction de BasketSession et REVERSE se mouillent un peu pour vous donner leurs pronostics pour la nouvelle saison NBA. N'hésitez pas à nous donner les vôtres dans les commentaires !

Théophile HAUMESSER (@TheoHaumesser)

MVP : Giannis Antetokounmpo

"En sport, il n'y a pas d'échec." Tu parles, Giannis a eu tout l'été pour cogiter à ce qui n'a pas fonctionné l'an dernier, il a un nouveau lieutenant de luxe en Damian Lillard et il va revenir plus déterminé que jamais pour rappeler que c'est SA ligue. Les autres ne sont que des invités de passage.

Rookie of the Year : Victor Wembanyama

La pression va être énorme, parce qu'aucun autre rookie ne sera plus scruté que Victor, mais s'il ne se blesse pas, tout est en place pour qu'il finisse la saison avec ce trophée entre les mains.

Most Improved Player : Evan Mobley

Si Evan Mobley passe un cap offensif cette saison, son statut en NBA pourrait changer du tout au tout... et celui des Cavs aussi.

6th man of the year : Chris Paul

Ce n'est clairement pas le trophée qu'il souhaite décrocher et, si les Warriors connaissent trop de blessures, il pourrait même avoir joué trop de matches dans le 5 de départ pour être éligible, mais sur le papier Chris Paul sera probablement le meilleur joueur à sortir du banc de toute la ligue.

Coach of the Year : Quin Snyder

Personne n'attend les Hawks et pourtant ils ont du talent. Quin Snyder a déjà montré à Utah qu'il savait s'y prendre pour mettre en place un fond de jeu qui fonctionne en saison régulière. Il a toutes les pièces en main pour en faire de même à Atlanta.

Defensive Player of the Year : Bam Adebayo

Erik Spoelstra ne sera pas mentionné pour le trophée de CoY, Jimmy Butler non plus dans la course au MVP et pourtant personne ne voudra jouer le Heat en playoffs, notamment parce que leur défense de fer repose sur Bam Adebayo. Il est temps qu'il soit enfin récompensé.

Meilleur scoreur : Avec un Doncic en forme dès le début de la saison et un meilleur supporting cast, on voit mal ce qui pourrait freiner le Solvène offensivement cette saison.

Champion : Denver Nuggets

Une saison régulière en sous-marin et des playoffs en apothéose. Les Nuggets ne se sont pas renforcés, mais c'est sans doute parce qu'ils sont justement sûrs de leurs forces.

Finaliste : Milwaukee Bucks

Giannis, Dame et les Bucks sont en mission. L'effectif n'est pas parfait, mais ils peuvent aller chercher une place en final au mental et à la détermination.

Julien DESCHUYTENEER (@JDeschuyt)

MVP : Nikola Jokic

Difficile de choisir puisque visiblement le trophée de MVP de l’année ne récompense pas le MVP de l’année, mais « le joueur le plus valuable de la saison à condition que ça ne le classe pas trop haut dans la hiérarchie all-time si on pense stupidement qu’il ne le mérite pas ». Et visiblement, le filer à Jokic l’année dernière signifiait non pas qu’il était le plus valuable de la saison, mais qu’il était de la trempe de Bird, Russell et Chamberlain (et quand bien même ça voudrait dire ça, serait-ce un scandale) qui eux-même sont donc au-dessus de Jordan, LeBron et tant d’autres puisque ça a l’air d’être le Graal d’en choper trois de suite…

Bref, cette année, il fera une moins bonne saison que l’an passé, mais suffisamment brillante pour être le joueur le plus valuable. A moins que, autre bizarrerie, le MVP ne soit finalement pas le plus valuable mais le meilleur joueur de la meilleure équipe.

Rookie of the Year : Victor Wembanyama

Etonnant, non ?

Most Improved Player : Alperen Sengun

Les Houston Rockets pourraient bien faire une saison tout à fait correcte cette année en NBA. Et s’ils le font, ce sera en grande partie dans le sillage d’un Alperen Sengün que je vois bien capable d’aligner 4-5 pts, 2-3 rebonds et 1 assist de plus que l’an passé en moyenne. Surtout, il devrait encore plus rayonner dans le jeu. S’il n’est probablement pas l'un des premiers noms qui viennent en tête, il pourrait surprendre.

6th Man of the Year : Norman Powell

Norman Powell plantera près de 20 pions en sortie de banc. Sans être la meilleure équipe de l’Ouest, les Clippers feront une saison très solide et peuvent même aller chercher un Top 4. Si c’est le cas, Powell y jouera un rôle non négligeable.

Coach of the Year : Joe Mazzulla

Comme beaucoup, je pense que les Boston Celtics ont de bonnes chances de dominer la saison régulière. Avec un starting five aussi galère à défendre qu’à attaquer, Joe Mazzulla est aux commandes d’un avion de chance et devrait profiter de leur excellente saison au moment des remises de trophées individuels.

Defensive Player of the Year : Bam Adebayo

Peut-on vivre dans un monde où Erik Spoelstra ne sera jamais coach de l’année et Bam Adebayo jamais DPoY ? Il faudra probablement s’y résigner, mais c’est trop dur pour moi. Je me suis fait une raison pour Spo, surtout que j’ai peur que le Heat fasse une saison bonne mais pas top. Alors je vais miser sur Bam, qui est excellent dans le domaine. Petite pièce aussi sur Victor Wembanyama dans une All Defensive Team, avec probablement un paluchage et une enflammade généralisés sur ses highlights - ce qui ne signifie pas qu’il ne sera pas un redoutable défenseur en NBA d’ailleurs.

Meilleur scoreur : Joel Embiid

Vu le niveau affiché par James Harden ces derniers mois, les Sixers ne réussiront pas à récupérer une megastar s’ils arrivent à s’en débarrasser. Il n’y a donc aucune raison pour que le futur membre de Team USA ne continue pas son chantier en terme de scoring.

Champion NBA : Denver Nuggets

J’hésite vraiment avec les Bucks. Mais j’ai le sentiment que, même si Nikola Jokic et consorts seront probablement plus attendus que la saison passée, ils ont tout pour réussir le back-to-back en NBA. Pas sûr qu’ils soient à 100% en saison régulière, mais une fois les playoffs lancés, ils vont à nouveau atteindre un niveau dingue et step up, comme avait su le faire Jamal Murray une fois la postseason 2023 débutée. Leur noyau dur et leur expérience sont tels que même la perte de Brown ne devrait pas les empêcher de retrouver les Finales.

Finaliste : Milwaukee Bucks

Oui, la perte de Jrue Holiday va changer pas mal de choses, à commencer par l’identité défensive de l’équipe. Et l’ « inconnue » Adrian Griffin risque de peser. Mais si l’association Giannis-Dame fonctionne comme beaucoup d’entre nous en rêvent, alors ils seront très durs à jouer. Enfin, si le corps de Middleton tient…

Shaï MAMOU (@MamouShai)

MVP : Nikola Jokic

Je m'en suis expliqué dans l'épisode du podcast de cette semaine, mais pour vous la faire courte : le Joker est fiable, productif  de manière paranormale et son équipe a de bonnes chances de finir dans le top 3 à l'Ouest. Et puis j'en ai marre de faire le marginal sur ce trophée-là, donc j'opte pour la "facilité".

Rookie of the Year : Scoot Henderson

Bon, marginal un jour, marginal toujours. J'espère de tout coeur que Victor Wembanyama sera Rookie de l'année, mais quelque chose me dit qu'en termes de production, particulièrement au scoring, Scoot Henderson va réussir une saison 1 bien méchante. Et comme c'est souvent le scoring qui fait la différence sur ce trophée, je vais oser aller contre la logique.

Most Improved Player : Tyrese Maxey

James Harden ne sera vraisemblablement pas là de la saison et les Sixers ont besoin d'une montée en puissance pour épauler Joel Embiid. Je vois bien Maxey être ce joueur et se rapprocher d'une première sélection pour le All-Star Game.

6th man of the year : Cole Anthony

Je le vois scorer assez fort en sortie de banc à Orlando, où il vient de prolonger son contrat. Autour des 16-17 points de moyenne, il ne sera pas loin du compte.

Coach of the Year : Quin Snyder

Je pensais que ce serait un choix original, mais je m'aperçois que mes camarades ont souvent eu la même idée. Attention à Mark Daigneault quand même.

Defensive Player of the Year : Jrue Holiday

J'ai l'impression que l'heure de lui donner ses lauriers est venue, pile au moment où il quitte l'équipe avec laquelle il a donné le meilleur de lui-même en défense sans être récompensé sur le plan individuel.

Meilleur scoreur : Joel Embiid

Il risque d'être obligé de scorer comme un cochon et cela devrait à nouveau se traduire par un troisième titre de meilleur scoreur consécutif.

Champion : Denver Nuggets

Je sais, Nikola Jokic n'a qu'une hâte c'est de boucler la saison pour retourner manager des canassons en Serbie. Mais il est le joueur le plus dominant de la ligue, avec des lieutenants qui peuvent encore passer un cap et un coach qui figure déjà parmi les meilleurs de la ligue. C'est quasiment l'équipe qui m'offre le plus de garanties, donc je crois en leur back to back.

Finaliste : Boston Celtics

Un bel équilibre, du talent, mais aussi une vibe de Poulidors de la NBA.

Antoine PIMMEL (@AntoinePimmel)

MVP : Jayson Tatum

Les Celtics sont taillés pour gagner plus de 60 matches et Jayson Tatum sera donc le meilleur joueur de l’équipe qui dispose sans doute du meilleur bilan NBA. Les présences de Porzingis, Holiday et Brown ne vont pas de désavantager dans la course au trophée, au contraire même ! Le jeune homme de 26 ans va pouvoir gagner encore en efficacité tout en étant productif et en affichant au grand jour un profil de plus en plus complet.

Rookie of the Year : Victor Wembanyama

Le trophée lui appartient déjà, il doit juste ne pas le perdre. Comment ? En jouant son jeu, tout simplement. S’il met 18 à 20 points, la « hype » et les highlights suffiront à ce qu’il soit nommé ROY.

Most Improved Player : Franz Wagner

Ce n'est pas celui qui fera la meilleure progression statistique mais il va s'affirmer comme une star (pas forcément un All-Star) et le Magic va au moins accrocher le play-in.

6th man of the year : Chris Paul

Avouez que ce serait marrant, non ? Je pense pas qu’ils le gagneront mais, faute de meilleure idée, j’ai mis ce qui me faisait marrer.

Coach of the Year : Joe Mazzulla

La rédemption, la revanche, etc. Boston va finir avec le meilleur bilan de la ligue et il sera donc nommé COY.

Defensive Player of the Year : Giannis Antetokounmpo

J’ai failli mettre Anthony Davis mais je crois en un scénario où les Lakers finissent finalement cinquièmes à l’Ouest. Les Bucks ont perdu en défense avec le départ de Jrue Holiday mais ça va donner à Giannis Antetokounmpo de compenser cette perte en montrant à quel point c’est un monstre défensif.

Meilleur scoreur : Luka Doncic

Même avec Kyrie Irving à ses côtés, Luka Doncic peut claquer 30 points par match. Ou légèrement en-dessous. Les Mavericks auront une des meilleures attaques de la ligue d’ailleurs.

Champion : Denver Nuggets

Le départ de Bruce Brown fait mal pour les Nuggets, mais pas de là à compromettre leurs chances d’atteindre les Finales NBA. Avec un groupe soudé, tournant autour de l’un des meilleurs joueurs de la ligue, qui se connaît et connaît désormais le chemin du titre, Denver s’impose comme le clair favori de l’Ouest et comme l’un des favoris au titre.

Finaliste : Milwaukee Bucks

Une très belle première campagne pour le duo Giannis-Lillard mais pas de titre.

Podcast #58 : Wembanyama enflamme la planète basket (feat. Pascal Giberné)

Damien DA SILVA

MVP : Jayson Tatum

Un choix logique pour moi : le meilleur joueur de la meilleure équipe. Avec un 5 majeur terrifiant, les Celtics vont dominer la saison régulière selon moi. Et avec ses moyennes, Tatum sera donc un candidat légitime à ce trophée. Il y a eu un petit doute avec Giannis Antetokounmpo, mais je vois bien le Grec se mettre, au moins au début, en retrait pour faciliter le jeu de Damian Lillard.

Rookie of the Year : Victor Wembanyama

Sur cette cuvée, Wembanyama a seulement un rival à mes yeux : Scoot Henderson. Malgré son talent, Chet Holmgren est dans une trop bonne équipe pour vraiment participer à cette lutte. Je donne un avantage clair au Français, qui va vraiment être au centre du projet chez les Spurs et qui me semble d’un niveau tout simplement supérieur.

Most Improved Player : Mikal Bridges

Le vrai choix de la sécurité. Avec ses moyennes de l’an dernier, biaisées par la majorité de sa saison aux Phoenix Suns, Mikal Bridges peut connaître une explosion de ses statistiques aux Brooklyn Nets dans un rôle de numéro 1. D’ailleurs, elles ont déjà connu une nette augmentation sur la seconde partie de l’exercice 2022-2023 et je le vois bien continuer sur ce rythme.

6th man of the year : Malik Monk

Comme pour Bridges, le choix le plus facile aurait probablement été Derrick White. Mais va-t-il réellement sortir du banc ? J’ai un sérieux doute. Du coup, j’ai opté pour Malik Monk. Chez les Sacramento Kings, il connaît parfaitement son rôle et risque de faire de belles performances dans le système de Mike Brown.

Coach of the Year : Joe Mazzulla

Je suis la même logique que pour le MVP : le coach de la meilleure équipe de la NBA. En partant du principe que les Boston Celtics vont avoir le meilleur bilan, Joe Mazzulla a de bonnes chances d’avoir cette distinction.

Defensive Player of the Year : Bam Adebayo

Et si c’était enfin son année ? Un gars avec un tel impact défensif en NBA mérite cette récompense. La vraie question : va-t-il jouer assez de matches pour être éligible ? J’ai envie d’y croire. Sans prendre ce risque, le choix Bam Adebayo était également tentant…

Meilleur scoreur : Joel Embiid

Pourquoi changer par rapport à l’an dernier ? Joel Embiid est le tenant du titre et je le vois bien le conserver. Tout d’abord, chez les Sixers, avec le bordel autour de James Harden, il risque d’avoir encore un peu plus la gonfle. Et offensivement, il devrait donc se faire plaisir pour maintenir une moyenne très élevée.

Champion : Golden State Warriors

Il ne faut jamais enterrer de tels champions ! Et avec les forces en présence à l’Ouest, je trouve les Golden State Warriors un peu trop oubliés… Malgré une folle concurrence, cette équipe peut encore compter sur un Stephen Curry à un très haut niveau. Avec le retour d’Andrew Wiggins, un vestiaire plus sain, le développement des jeunes et même l’impact de Chris Paul, je veux croire à un retour au sommet.

Finaliste : Milwaukee Bucks

Les Boston Celtics vont peut-être dominer la saison régulière, mais vont échouer en Playoffs… Car les Milwaukee Bucks vont faire la différence à l’Est. Sur une série de Playoffs, le meilleur joueur peut faire basculer le destin d’une confrontation et Giannis Antetokounmpo, à 100%, me semble difficilement gérable, surtout après de longs mois à intégrer Lillard. Mais les Warriors auront la clé pour les battre…

Benjamin MOUBECHE (@BenjaminMoubech)

MVP : Joel Embiid

Il l’a déjà fait et peut le refaire, en particulier sous les ordres de Nick Nurse qui le fera certainement jouer jusqu’à épuisement. Le fiasco James Harden dessert le contexte collectif, mais pourra servir de base au narrative autour d’un back-to-back de Joel Embiid, qui reste l’un des joueurs les plus dominants de la NBA.

Rookie of the Year : Victor Wembanyama

Qui d’autre ? Bien sûr, la concurrence sera rude avec Chet Holmgren et Scoot Henderson notamment, mais Victor Wembanyama reste le clair favori pour ce titre. L’enjeu sera pour lui de disputer suffisamment de matches et de simplement être lui-même, comme il sait le faire.

Most Improved Player : Devin Vassell

Lieutenant de Victor Wembanyama à San Antonio, Devin Vassell semble prêt à exploser cette saison. Scoreur polyvalent, impressionnant en pré-saison, son retour de blessure (seulement 38 matches en 2022-2023) devrait ouvrir des portes, tant sur le plan collectif qu’individuel.

6th man of the year : Immanuel Quickley

Dans l’ombre de Jalen Brunson, Immanuel Quickley (24 ans) a fait de grands progrès la saison dernière. Sachant que la rotation de Tom Thibodeau sera courte, il pourrait ainsi bénéficier d’un temps de jeu important, et en faire le meilleur usage. Son profil de pétard ambulant sera assurément séduisant.

Coach of the Year : Quin Snyder

Tout est en place, à Atlanta, pour retrouver les hauteurs de la Conférence Est. Cette progression ne sera bien entendu pas le fruit du travail d’un seul homme, mais Quin Snyder pourrait en ramasser les lauriers. Il semble correspondre à merveille à ce groupe, s’entendre avec Trae Young, et le facteur « surprise » sait toujours séduire les votants pour ces trophées NBA.

Defensive Player of the Year : Avec l’arrivée de Damian Lillard, le « Greek Freak » a déjà annoncé son intention de se mettre en retrait offensivement pour laisser de la place à son nouveau coéquipier. Avec moins de responsabilités en attaque, il pourra ainsi se concentrer sur un domaine qu’il maîtrise tout autant, si ce n’est plus : la défense.

Meilleur scoreur : Difficile de pronostiquer Joel Embiid en tant que MVP sans l’annoncer également meilleur marqueur. Le pivot devra redoubler d’efforts pour compenser le déséquilibre causé par James Harden, et cela pourrait se traduire par un volume encore plus important que la saison précédente.

Champion : Milwaukee Bucks

Il y aura beaucoup de « si », car il reste à déterminer si Khris Middleton peut rester en bonne santé, si la sauce prend avec Damian Lillard, et surtout si Adrian Griffin est le bon coach pour les Bucks. Mais sur le papier, Milwaukee a tout d’un favori au titre NBA, bien que cela ne se joue pas à grand-chose.

Finaliste : Denver Nuggets

Le départ de Bruce Brown fait mal pour les Nuggets, mais pas de là à compromettre leurs chances d’atteindre les Finales NBA. Avec un groupe soudé, tournant autour de l’un des meilleurs joueurs de la ligue, qui se connaît et connaît désormais le chemin du titre, Denver s’impose comme le clair favori de l’Ouest et comme l’un des favoris au titre.

Barbara YOUINOU (@BarbaraYouinou)

MVP : Jayson Tatum

Les Celtics vont faire une saison de fou en partie grâce à lui. Il n’a jamais semblé aussi fort, ni en mesure d’assumer un vrai leadership.

Rookie of the Year : Victor Wembanyama

Besoin d’argumenter ? Pendant la prépa, Victor s’est plutôt mis en valeur. Surtout, la pression glisse sur lui. S’il ne se blesse pas, il a tout pour perforer pendant toute la saison et être ROY haut la main.

Most Improved Player : Evan Mobley

L’intérieur incarne le futur des Cavs et a déjà montré qu’il avait de sacrés capacités physiques, en plus de ne pas être manchot en attaque. Si son coach coach JB Bickerstaff l’implique un peu plus en attaque que l’an dernier, c’est bingo.

6th man of the year : Immanuel Quickley

Avec Tom Thibodeau , il devrait avoir un paquet de minutes pour s’illustrer. Et comme il a une capacité à scorer, il a ce qu’il faut pour devenir le meilleur sixième homme en NBA.

Coach of the Year : Joe Mazzulla

Parce que les Celtics devraient être la meilleure équipe de la saison régulière. et parce qu’avec plus de sérénité, le technicien devrait encore plus imposer son style sur son groupe.

Defensive Player of the Year : Bam Adebayo

Souvent placé, jamais récompensé. Et si c’était enfin son année ? Le pivot du Heat sait tout en faire en défense. Alors l’anomalie qu’il n’ait encore jamais été élu devrait être réparée.

Meilleur scoreur : Luka Doncic

J’aurais bien vu Joel Embiid, mais le contexte des Mavs est plus propice pour que Doncic enchaine les cartons. Quand il ne sera pas occupé à râler contre les arbitres…

Champion : Denver Nuggets

Bien sûr Bruce Bown n’est plus là, mais le groupe ne risque pas pour autant de se fissurer. Et avec Nikola Jokic, ils ont juste l’un des meilleurs joueurs NBA.

Finaliste : Milwaukee Bucks

Piqués par leur élimination précoce l’an dernier, les Bucks devraient prendre leur revanche. Si Giannis aura une aide de choix avec Lillard, cela risque de faire un peu juste sur la dernière marche face à l’expérience collective de Denver.