Julien Deschuyteneer (@JDeschuyt)
MVP : Luka Doncic (Mavericks) La course sera très serrée avec Stephen Curry, pendant que le meilleur joueur du monde et l’ancien meilleur joueur du monde assureront le minimum syndical - et leur minimum syndical, c’est quand même du très costaud - avant de se fâcher en playoffs. ROY : Jalen Green (Rockets) Cade Cunningham serait mon favori si Jalen Green ne jouait pas dans une équipe de G-League où Kevin Porter Jr et lui auront carte blanche après la retraite de John Wall il y a quelques mois. MIP : Darius Garland (Cavaliers) Oui, il part d’assez haut, mais il peut aller chercher quelques points et quelques passes en moyenne supplémentaires. Et les Cavs vont gagner quelques matches de plus cette saison. Si, si… 6th man : Derrick Rose (Knicks) Après avoir réussi à retrouver son premier amour Tom Thibodeau, Derrick Rose est salement monté en pression en playoffs (19,4 pts, 4 rbds, 5 pds contre 14,7 pts, 2,6 rbds, 4,2 pds). Probablement le joueur le plus talentueux de la ligue à sortir du banc, D-Rose devrait continuer sur cette lancée. Coach of the Year : Nate McMillan (Hawks) Si les Hawks finissent dans le Top 4, Nate McMillan sera récompensé pour… ses playoffs 2021. A moins que ce soit Monty Williams. Defensive Player of the Year : Giannis Antetokounmpo Ben Simmons stoppera un nombre incroyable de joueurs après avoir shut down une franchise entière à lui tout seul, mais le Greek Freak reste le meilleur défenseur de la ligue. C’est dire à quel point il est fort. Meilleur scoreur : Stephen Curry Le retour de Klay Thompson ne l’empêchera pas d’enchaîner les cartons. Au contraire. Finalistes NBA : Los Angeles Lakers Après une année magnifique qui a permis de voir ce que donne une compétition ouverte et équilibrée (c’est triste mais pour tendre vers une égalité des chances en NBA, on sera toujours mieux servi par les blessures que par le règlement et le Collective Bargaining Agreement), retour des armadas au plus haut niveau. Les Mavs et les Warriors en paieront les frais en finales de Conf’, mais la vengeance de ceux qui seront les deux finalistes de Conf en 2023 sera terrible. Champions NBA : Brooklyn Nets La plus grande de ces armadas, c’est les Brooklyn Nets. Avec un peu de chance, il n’y aura pas d’évolution dans les législations des états de New York et de Californie, ni dans la position de Kyrie. BK jouera paradoxalement (ou pas) mieux sans lui, tout en ayant la possibilité de développer un arc narratif exceptionnel en nous vendant le fait que ce titre était archi dur à aller chercher puisqu’un membre de leur Big Three a manqué la saison. Et tout le monde de se palucher…Théophile Haumesser (@TheoHaumesser)
MVP : Kevin Durant (Brooklyn Nets) L'an dernier, KD a bien failli sortir les futurs champions à lui tout seul. Dans la foulée de ses playoffs et de son titre olympique, on s'attend à un carnage. RoY : Jalen Green (Rockets) Le mec a le talent et l'attitude nécessaire pour mettre le feu et, en plus, il aura une carte blanche totale pour allumer dans tous les sens. MIP : Jordan Poole (Warriors) S'il sortait du banc toute l'année, il pourrait briguer le titre de 6th Man Of the Year. Dans tous les cas, il va cartonner. 6th man : Terance Mann (Clippers) S'il ne sortait pas du banc, il pourrait briguer le titre de MIP. Dans tous les cas, il va cartonner. Coach of the Year : Billy Donovan (Chicago) Je n'aurais jamais cru écrire un truc pareil un jour, mais tout est en place pour que ça arrive, sachez-le. Defensive Player of the Year : Rudy Gobert (Jazz) On ne change pas un défenseur qui fait gagner. Meilleur scoreur : Stephen Curry (Golden State) Stephen Curry a du temps et des trophées à rattraper. En attendant que Klay revienne de blessure, il sera encore une fois le point central de l'attaque des Dubs. Finalistes NBA : Dallas Mavericks C'est osé, mais on y croit. Quand on a un joueur comme Luka dans son équipe, on a systématiquement une chance d'aller loin, voire très loin. Si Porzingis peut défendre et que des blessures ou des déceptions touchent d'autres cadors de l'Ouest, les Texans peuvent rêver. Champions NBA : Milwaukee Bucks Les Bucks ont un luxe incroyable : ils sont champions en titre et, pourtant, toute la pression est sur les épaules des Lakers et des Nets. Le cap monstrueux franchi par Giannis en finales 2021 et la stabilité du roster sont autant d'atouts qui fleurent bon le back-to-back.Antoine Pimmel (@AntoinePimmel)
MVP : Luka Doncic (Dallas Mavericks) Un troisième européen élu MVP à la suite, ça paraît peu probable. Rien que pour ça, j’aurais dû mettre Kevin Durant. Mais c’est l’année du prodige slovène. ROY : Jalen Green (Houston Rockets) Il n’y a pas un seul joueur NBA qui a plus de flow que lui. 19 points à 43%, ça suffit pour être ROY. Anthony Edwards valide ce message. MIP : Michael Porter Jr (Denver Nuggets) Parce qu’il aurait dû l’avoir l’an dernier ! Le cap de bon joueur à All-Star est le plus dur à franchir et en claquant une bonne vingtaine de points par match en l’absence de Jamal Murray, MPJ devrait prendre le dessus sur la concurrence. 6th Man : Patty Mills (Brooklyn Nets) Pourquoi avoir besoin d’un Kyrie Irving quand il y a un Patty Mills ? Il va faire ce qu’il fait depuis des années : sortir du banc, mettre du rythme, bombarder à trois-points, scorer et aller chercher des trophées. Sauf qu’au moins, là, le lauréat sera un gars qui peut avoir un vrai impact en playoffs. COY : Ime Udoka (Boston Celtics) Les Celtics vont finir troisième à l’Est avant de se faire sortir au second tour. Mais en faisant une bonne saison, Ime Udoka profitera de son statut de nouvel arrivant pour rafler la récompense. DPOY : Bam Adebayo (Miami Heat) La nouvelle référence en défense en NBA. Parce qu’il peut faire aussi bien du Draymond Green que du Rudy Gobert. Meilleur scoreur : Kevin Durant (Brooklyn Nets) J’aurais vraiment dû le mettre MVP. Finalistes : Dallas Mavericks Maintenant que Luka Doncic a compris comment ça marche en NBA, son équipe sera immédiatement candidate au titre chaque année. Comme LeBron James au début de sa carrière. Les Mavericks peuvent faire un peu comme le Thunder en 2012 en profitant de l’absence d’une vraie armada massive à l’Ouest. Il y a plein de contenders mais aucun vrai favori dans cette Conférence. Du coup, je mise sur l’équipe qui a la superstar la plus talentueuse. Champions NBA : Brooklyn Nets Avec autant de talents, ça va bien finir par passer. Mais les Bucks mériteraient plus de respect dans les pronostics. 11 prédictions pour la saison NBA 2021-2022Shaï Mamou (ShaiMamou)
MVP : Stephen Curry (Golden State) Sa candidature était belle l'année dernière, mais il manquait un brin de bon bilan collectif pour vraiment aller chatouiller Nikola Jokic. En partant du principe que les Warriors seront meilleurs cette saison, je vois bien le "Baby-Faced Assassin" refaire une saison de cochon et ramener les Warriors dans le haut du panier. RoY : Jalen Suggs (Orlando) Tout le monde résume la course pour le titre de RoY à une lutte entre Cunningham et Green, ce que je comprends, mais j'ai l'impression que Suggs aura lui aussi beaucoup de temps de jeu et, surtout, souvent le ballon dans les mains. MIP : OG Anunoby (Toronto) Il ne reste plus tant de monde que ça de l'épopée de 2019 et Pascal Siakam ne sera pas là en tout début de saison. OG Anunoby avait déjà bien progressé la saison dernière et a de bonnes chances de fortement augmenter sa moyenne de points, ce qui reste l'un des critères les plus appréciés des votants. J'ai hésité avec Lonzo Ball, mais je nve veux 6th man : Tyler Herro (Miami) Ce que j'ai vu de lui et du Heat en pré-saison me fait dire qu'il va remporter ce trophée, que l'on devrait renommer "mec qui marque le plus de points en sortie de banc peu importe à quel point il croque Award". Coach of the Year : Steve Kerr (Golden State) Vous l'aurez compris, je mise sur une belle saison régulière des Warriors. Réussir à ramener Golden State dans le top 4 à l'Ouest va quand même nécessiter une bonne dose de talent au coaching et je fais confiance à Steve Kerr de ce point de vue-là. Peut-être que si Quin Snyder gagne 80 matches sur 82, ils réfléchiront à lui donner, cela dit. Quoi que... Defensive Player of the Year : Matisse Thybulle (Philadelphie) Un peu audacieux parce que même s'il était dans la All-Defensive 2nd Team, le Sixer a un temps de jeu un peu faiblard pour réellement aller chercher un trophée individuel. C'était en tout cas le cas la saison dernière. Je mise sur un peu plus de minutes et sur un impact encore plus effrayant de ce côté-là du terrain. Meilleur scoreur : Stephen Curry (Golden State) Je ne dis pas qu'il tournera à 32 points de moyenne comme la saison dernière, mais je n'exclus absolument pas une nouvelle saison au-dessus ou autour des 30 pions. Finalistes NBA : Golden State Warriors Je force un peu hein ? C'est sans doute parce que j'ai envie que les dernières bonnes années de Curry et des Warriors se traduisent par un retour en Finales. Champions NBA : Brooklyn Nets Même sans Kyrie Irving, le tandem Kevin Durant-James Harden me paraît difficile à surmonter pour l'opposition si les deux larrons ne se blessent pas et montrent la même connivence que la saison dernière. Le reste de l'effectif est franchement bon aussi et même si ça n'a rien d'original, le sacre semble logique.Barbara Youinou (@BarbaraYouinou)
MVP : Kevin Durant (Brooklyn Nets) Un QI basket de malade, des skills de dingue, incroyable des deux côtés du terrain et une conférence Est un peu moins forte qui lui permettra de se mettre encore plus en valeur RoY : Jalen Green (Houston) Un scoreur-né qui ne devrait pas manquer de faire quelques cartons cette année MIP : Kevin Porter Jr (Houston) Déjà candidat l’année dernière, cette fois-ci la récompense lui ait promise. 6th man : Patty Mills (Nets) Parce qu’il va montrer, dans un effectif XXL, à quel point il est toujours important d’avoir un Patty Mills dans son équipe. Coach of the Year : Quin Snyder Parce que le Jazz est toujours aussi plaisant à voir jouer Defensive Player of the Year : Rudy Gobert (Utah Jazz) Malgré une grosse concurrence, il a un arsenal suffisant pour encore empocher la mise. Et puis comme le Jazz fera une grosse saison, ça ne fera qu’accentuer sa côte. Meilleur scoreur : Stephen Curry (Golden State) Y a t’il besoin d’argumenter ? Le regarder shooter suffit. Finalistes : Milwaukee Bucks Tout simplement parce que leur vécu collectif fera la différence face aux talents des Nets. Champions : Utah Jazz Parce que ça progresse chaque année et qu’ils auront moins de pression que leurs concurrents.Damien Da Silva (@DamienDaSilva63)
MVP : Stephen Curry (Warriors) Sur la lancée de sa saison 2020-2021 de grande qualité, le meneur des Warriors va faire de gros dégâts. Avec en plus le retour de Klay Thompson, il va avoir des libertés plus importantes pour faire encore plus mal. RoY : Cade Cunningham (Pistons) Même si les Rockets vont tout faire pour mettre Jalen Green dans les meilleures conditions, le #1 pick aura aussi les commandes de son équipe avec les Pistons et il devrait pouvoir enchaîner les cartons. MIP : Jaren Jackson Jr (Grizzlies) Un peu comme les Grizzlies avec le contrat qu’ils viennent de lui, je vais miser sur lui. Si son corps le laisse enfin tranquille, il peut clairement profiter de la confiance de ses dirigeants pour enfin exploser. 6th man : Tyler Herro (Heat) Après sa saison 2020-2021, il a clairement une énorme envie de réagir. Ce n’était que la présaison, mais j’ai bien aimé le visage qu’il a affiché et même si le contexte de la bulle était particulier, on ne peut pas perdre de telles qualités en quelques mois. Coach of the Year : Erik Spoelstra (Heat) Avec l’effectif du Heat, je pense que cette équipe a les armes pour terminer dans les premières places à l’Est. Et avec l’impact de Spoelstra sur le collectif de Miami, il sera temps de le récompenser. Defensive Player of the Year : Rudy Gobert (Jazz) Est-ce qu’il est vraiment le meilleur défenseur de la NBA ? Je pense qu’il s’agit de Giannis Antetokounmpo personnellement. Mais le Français est « plus spectaculaire » de ce côté du parquet avec notamment ses contres. Avec Ben Simmons probablement hors-jeu, je le vois bien conserver son titre. Meilleur scoreur : Stephen Curry (Warriors) Exactement le même raisonnement que pour le titre de MVP. Le meneur des Golden State Warriors va encore affoler les compteurs, même si Kevin Durant ou encore Bradley Beal restent de sérieux concurrents. Finalistes : Milwaukee Bucks Avec l’expérience de l’an dernier et un Giannis Antetokounmpo toujours aussi dominant, je pense que les Bucks peuvent prendre la mesure des Nets. Cependant, il y a tout de même cette incertitude autour de Kyrie Irving… J’ai choisi Milwaukee en le considérant absent. Champions : Los Angeles Lakers C’est probablement l’une des dernières années pour LeBron James de remporter un titre. Avec également l’envie d’obtenir une revanche par rapport à l’an dernier et de faire taire ses détracteurs, le King risque de donner l’exemple aux siens… Puis le meilleur joueur de cette équipe, Anthony Davis, laissé tranquille par son corps, sera le MVP des Finales.Nicolas Sebire (@NicoSebire)
MVP : Kevin Durant (Brooklyn)
Parce que comme Kobe, un seul titre de MVP pour ce mec, ce n'est pas normal RoY : Jalen Green (Houston) La petite bombe des Rockets va avoir carte blanche, comme le futur MIP Kevin Porter Jr. Il y aura évidemment du déchet dans l'adresse et les choix, mais sa fluidité, son sens du scoring et ses coups de chaud vont faire de lui le ROY. MIP : Kevin Porter Jr (Houston) Oui, le ticket gagnant avec Green. Ce duo-là, c'est quelque chose de très sexy. Même si Houston ne gagnera pas beaucoup de matches, l'ancien des Cavs va franchir un cap sur le terrain. Et si ça tient dans la tête... 6th man : Jordan Clarkson (Utah) Je vois un peu notre ami comme le nouveau Lou Williams. Bien intégré dans son rôle au Jazz, équipe qui n'a d'ailleurs pas trop changé cet été, Jordan Clarkson va encore rafler la mise, malgré une belle concurrence avec Tyler Herro. Coach of the Year : Billy Donovan (Chicago) La rédemption des Bulls mettra automatiquement Billy Donovan parmi les prétendants. Et un peu comme Tom Thibodeau avec New York l'an passé, les votants décideront de lui donner plutôt qu'à Steve Nash, Mike Budenholzer ou encore Monty Williams. Defensive Player of the Year : Rudy Gobert (Utah) Un peu le même raisonnement qu'avec Jordan Clarkson. Meilleur scoreur : Bradley Beal (Washington) S'il n'est transféré en cours de saison, Bradley Beal n'aura pas de concurrence vu que Stephen Curry lâchera quelques points à Poole et Thompson. Finalistes : Brooklyn Nets Le minimum pour l'armada de Brooklyn qui se heurtera à Kawhi Leonard Champions : Los Angeles Clippers La consécration enfin pour les Clippers, qui passeront sous les radars toute la saison pour créer la surprise avec Kawhi MVP. Coach of the Year : Monty Williams L'arrivée de Chris Paul va faire passer un cap à Phoenix, et apporter plus de sérénité à Monty Williams. Les Suns vont être la belle surprise à l'Ouest, avec pourquoi pas une place dans le top 4. Et même si la concurrence sera féroce, donner ce trophée à Monty Williams, quand on sait par quoi il est passé, serait magnifique. Meilleur scoreur : Kevin Durant Comme annoncé plus haut, il sera MVP et meilleur marqueur. Finalistes : Brooklyn Nets Parce qu'il nous faut un duel Kyrie-LeBron en finale. Champions : Los Angeles Lakers Ils ont fait très fort sur le marché des transferts. De loin la meilleure équipe sur le papier. Danger pourrait-on croire. Mais avec LeBron et AD, tout sera bien encadré et je ne vois pas les Lakers être chahutés.