« Nous sommes des compétiteurs. Je ne l'aime pas, il ne m'aime pas. C'est comme ça que ça passe. Il y a de l'animosité entre nous et c'est tant mieux. Ça ajoute de la motivation, c'est tout. C'est comme ça qu'il faut jouer. Quand vous rencontrez des gars des équipes adverses, vous n'êtes pas censé les aimer », a-t-il expliqué à ESPN.Il n'évoque pas cependant d'où lui vient cette antipathie pour son adversaire direct. L'an passé, Watson jouait pour les Bulls. Il a été coupé cet été et Robinson est venu le remplacer. Cette déclaration intervient alors qu'aucune altercation n'a transparu lors des deux premières rencontres. Ce qui est sûr, c'est que le lutin de Chicago n'aime pas son prédécesseur. Pourquoi ? Il ne précise pas.
« Quand vous n'aimez pas quelqu'un et que vous jouez contre lui, vous voulez le détruire. L'éteindre. Vous voulez bien faire, donc, ça m'apporte de la confiance. »A moins qu'il n'ait besoin de se choisir un ennemi pour se motiver.