« Je pense que pour n’importe quel entraîneur qui viendra ici dans les 10 ou 15 prochaines années, ce sera comme ça », a-t-il confié au L.A. Times. « Je pense qu’il a fait du super boulot et que dans un sens, il est toujours ici. Si cela m’avait dérangé, je n’aurais pas accepté le job parce que je savais que ça allait être comme ça. Je n’étais pas assez stupide pour me dire : ‘Oh, ils se souviennent de lui’. Bien sûr qu’ils s’en souviennent. Mais cela n’affecte pas le travail que nous faisons au quotidien et la manière que nous avons d’aborder les matches. »A-t-il néanmoins eu peur de se faire virer ? Pas du tout. A en croire le technicien moustachu, ses dirigeants l'ont toujours soutenu.
« Non, parce que Mitch Kupchak et Jim Buss ont vraiment été supers. Je ne pouvais pas rêver meilleurs dirigeants d’une équipe. Je ne pouvais pas demander mieux du personnel de la franchise. Je ne veux pas être désinvolte mais vous devez mettre de côté les soucis extérieurs, vous concentrer et aller de l’avant. Vous ne pouvez pas vous laisser distraire par les bruits de couloir. »Pour Mike D'Antoni, il s'agit maintenant de prouver qu'il est bien l'homme de la situation en relançant une équipe des Lakers éliminée au premier tour des playoffs la saison dernière. La bonne nouvelle pour lui c'est que Phil Jackson a confirmé qu'il ne souhaitait plus coacher...