« Ça pique et ça piquera toujours », admet Mike Brown auprès du L.A Times. « Mais pas au point où cela me freine ou ce genre de choses. Plus que tout, j’ai vraiment apprécié cette opportunité et le temps que j’ai passé à L.A.. »Attendus comme un rouleau compresseur à l'Ouest la saison dernière, les Lakers n'ont jamais trouvé l'alchimie. Et même s'ils se sont finalement qualifiés in extremis pour les playoffs, l'exercice précédent, conclu par la blessure de Kobe Bryant et le départ de Dwight Howard, laissera une impression d'énorme gâchis. Le seul regret pour Mike Brown restera de ne pas avoir eu davantage de temps pour permettre à son équipe de trouver son rythme de croisière.
« J’ai toujours cru qu’on allait y arriver ensemble. Quand vous réunissez plusieurs joueurs, cela prend du temps. J’en suis convaincu mais certaines personnes ont peut-être une vision différente. Mais je pense que les choses prennent du temps à s’assembler. J’avais le sentiment que le plan que j’avais allait être le bon. »A Cleveland, Mike Brown pourra se rappeler au bon souvenir de L.A. avec la présence dans son effectif des deux anciens Lakers, Earl Clark et Andrew Bynum.