Mais Mike Bibby raconte que sa passion pour la musculation et l’entraînement n’est pas une nouvelle lubie, mais que ce sont les équipes NBA pour lesquelles il a joué qui le dissuadaient d’aller à la salle.On a scale of 1-10, how JACKED is Mike Bibby 😳💪 pic.twitter.com/cnjLHJpe4n
— Sacramento Kings (@SacramentoKings) 15 juin 2018
« J’ai toujours eu cette carrure et j’ai toujours adoré soulever des poids », avait-il confié à GQ.
« Mais quand je jouais, les équipes ne voulaient pas que je pousse autant. Chaque été, quand je revenais pour le training camp, les franchises m’en voulaient parce qu’elles disaient que je ressemblais à un linebacker de foot US.
C’est pour ça que je ne faisais qu’une série par-ci, par-là, rien de plus côté muscu. »
Depuis, il s’est visiblement bien rattrapé…« Maintenant que je suis à la retraite, j’ai tout le temps du monde. Je peux pousser plus lourd. »
En gros, Mike Bibby passe l’essentiel de ses journées dans des salles de sport, alternant muscu, travail d’appuis, séances de shoot, jeu et… volleyball. Un régime plutôt hardcore, mais qu’on s’explique mieux quand on sait qu’il voudrait devenir coach.« Personne ne voudrait s’entraîner avec moi si je pèse 150 kilos et que je ne tiens même pas un entraînement. Je dois m’assurer d’être en forme pour mon prochain job dans le coaching. »
On aimerait quand même avoir l'avis du préparateur des Kings de l'époque à propos de tout ça...