"En tant qu'ancien joueur devenu propriétaire, je peux vous dire que j'adorai jouer. Si je n'avais pas jouer 82 matches, j'aurais sans doute joué à côté car c'est ça l'amour du jeu", explique le propriétaire des Charlotte Hornets. "Je n'ai jamais pensé qu'une saison à 82 matches était un problème."Il y a un petit côté "nous les anciens, on ne se plaignait pas" dans la déclaration de Michael Jordan mais il n'empêche que le proprio a réussi à trouver un argument un peu plus parlant.
"Si c'est vraiment ce qu'ils veulent faire on peut en discuter. Mais nous nous ferions moins d'argent. Sont-ils prêts à sacrifier de l'argent pour jouer moins de matches ? C'est la question car si vous jouez moins de matches vous ne pouvez pas être payés de la même manière."Cet argument sera sans doute repris par d'autres propriétaires et acteurs de la ligue opposés à une réforme de la saison régulière. Comme souvent, l'argent reste le nerf de la guerre...