Le but du Miami Heat pour la saison prochaine est de repartir avec l'effectif qui leur a permis de réaliser le back-to-back. Peu importe s'ils doivent payer la luxury tax, ils n'utiliserons pas l'amnesty clause qui aurait pu leur permettre de se débarrasser des contrats de Mike Miller ou Joel Anthony.
"Au jour d'aujourd'hui nous n'utiliserons pas l'amnistie, non", a confirmé Pat Riley.
Le Heat devrait donc payer près de 30 millions de luxury tax l'année prochaine. Mais le président des opérations basket a bien expliqué que le but de la franchise est de se renforcer en ajoutant, peut-être, un joueur, mais certainement pas de retirer un joueur à cet effectif qui a fait ses preuves.
"Nous voulons gagner et nous voulons le faire encore l'année prochaine. Nous allons essayer de faire tout ce que nous pouvons pour y arriver. Ce que j'ai dit à la fin de la saison, ça voulait bien dire ce que ça voulait dire. Je veux essayer de garder cette équipe intacte tant que nous le pouvons car nous avons une équipe championne ici. S'inscrire dans la continuité est la chose la plus importante pour gagner des titres... Je détesterais casser ça."
Tout n'est pas encore fixé car Pat Riley et le reste de la direction du Heat doit encore se réunir la semaine prochaine avant que la possibilité d'utiliser la clause d'amnistie expire. La décision devrait revenir en fin de compte au propriétaire de la franchise Micky Harrison.