« Je ne veux jouer pour personne. Je ne veux aller dans aucune équipe. Je veux aller en Chine », a-t-il confié à ESPN Los Angeles.Connaissant le personnage, ce dernier serait tout à fait capable de tout plaquer pour l’aventure chinoise. Il serait d’ailleurs déjà entré en contact avec son ancien coéquipier à Houston Yao Ming dans la perspective d’intégrer les Shanghai Sharks. Avant lui, Stephon Marbury a franchi le pas et s’est fait un nom et une réputation sur le continent asiatique. Mais contrairement à Marbury, Metta World Peace est toujours la cible des franchises NBA et a encore sa place dans la grande ligue. Délire ou plan de carrière réel ?
« On ne vit qu’une fois. On a 33 qu’une seule fois. Je ne pourrais pas jouer en Chine à un bon niveau plus tard. Je ne pourrais pas jouer en Chine et aligner 40 pts de moyenne plus tard. Ça peut être drôle. »Un choix plutôt étrange mais Metta n’est pas vraiment connu pour suivre les lignes. MWP serait visiblement prêt à refuser l’offre de New York, dont il est originaire.
« J’avais une chance de jouer à New York dans le passé. Je voulais jouer à New York quand j’étais jeune. Le Madison Square Garden, ça aurait été fou. Mais là, la Chine serait une plus belle aventure pour moi. »Outre la Chine, MWP a également évoqué l’idée du coaching. Il a d’ailleurs déjà contacté Mitch Kupchak dans l’espoir de trouver une équipe à encadrer à Los Angeles.
« Je lui ai dit ‘Mitch, je veux coacher cette année’. C’est la première chose que j’ai texté à Mitch. Ensuite je lui ai dit : ‘Ne t’inquiète pas, je comprends ce que j’ai à faire et j’adorerai aider les plus jeunes. Je veux coacher. Je veux les aider à gagner un championnat.’»La Chine semble tout de même plus accessible que le cochaing. Et si jamais rien ne fonctionne, Metta World Peace a une troisième roue de secours : le foot américain en salle…