« Les Lakers sont toujours sur la carte. J’ai été là pendant quatre ans, je sais comment ils fonctionnent. C’est un simple incident de parcours. J’adorerais les voir revenir au top. Ils y seront bientôt. J’aurais voulu prendre part à une finale Lakers – Knicks. Il ne peut pas y avoir meilleure finale que ça. Je ne verrais peut-être pas ça de mon vivant, » raconte Metta World Peace.L’enfant terrible du Queens ne se fait donc pas de soucis pour les Los Angeles Lakers. La franchise est l’un des plus titrées de l’histoire de la NBA (après Boston), le climat est idéal, L.A. est l’un des plus gros marchés du monde. Bref, les Lakers auront toujours des atouts pour faire venir des stars et il est probable que la franchise finissent pas se relever dans les années à venir. Quant à Metta World Peace, il ne garde que des bons souvenirs de son passage aux Lakers, malgré la tournure délicate des événements.
« Les Buss (du nom des propriétaire de la franchise), c’est la famille. Je prenais le petit déjeuner presque tous les dimanches avec Dr. Buss. Que dieu le bénisse. Jeanie Buss (la fille de Jerry Buss) me disait bonjour. C’est la famille. Ils ont fait ce qu’ils avaient à faire, cela ne change rien. Ils m’ont toujours traité comme un membre de la famille. »