"Phil va vous pousser à bout pour voir votre état d'esprit. Melo a parfaitement répondu. J'ai aimé le fait qu'il ne se planque pas et n'hésite pas à se défendre. Ca m'a rappelé ce que faisait Kobe avec Phil. Melo prend la posture du gars qui va dire à son équipe que tout le monde doit être soudé et ne pas écouter ce qui vient de l'extérieur. C'est ce dont les Knicks ont besoin : d'un peu de controverse".Et Metta World Peace d'ajouter au sujet de celui qui est passé du rôle de coach à celui de président :
"Phil n'en a rien à foutre. S'il fait ça, c'est parce qu'il en a envie et que c'est calculé. Parfois, je venais à l'entraînement sans avoir de bonnes sensations et il me lançait quelque chose pour me mettre en rogne. Du coup, j'étais fâché et je sortais un super entraînement. Ce sont des moments que j'appréciais avec lui avec le recul".Peut-être que dans 10 ans, lorsque Phil Jackson sortira un énième bouquin sur sa carrière, il expliquera cette période un peu curieuse de son mandat chez les Knicks...