« C’était la folie. Nous pensions que nous avions tout un tas de choses de réalisées, littéralement. Mais les équipes se sont dégonflées. (…) Des choses qui nous auraient utilisé beaucoup de masse salariale l’année prochaine, qui auraient coûté de l’argent, des gars avec des gros contrats, des difference makers. »Mark Cuban n’a néanmoins pas voulu préciser qui ces gros joueurs, ces « difference makers » étaient. Plus troublants, son General Manager Donnie Nelson tient un discours complètement différent. Pour lui, ce son les Dallas Mavericks qui ont décidé de ne rien faire sur ces propositions de trade qui leur auraient demandé de réduire l’espace dont il dispose sous le salary cap :
« Oui, nous avons eu certaines de ces conversations. Mais au final, nous avons choisi de conserver notre flexibilté. »Alors, décision des Mavs ou choix dicté par le refus des autres équipes de faire un gros deal avec eux ? Peu importe : Mark Cuban et Donnie Nelson devront être bons l’été prochain s’ils veulent que leur équipe retrouve le haut niveau qu’elle a quitté depuis le titre 2011.