« Il avait l’air fatigué », constate le meneur des Celtics. « Il faisait tout ce qu’il devait faire pour eux et cela peut être éprouvant. »Il arrive que certains soirs il ne soit pas forcément adroit. Par contre, le franchise player des Wizards reste au four et au moulin. En effet, il s'occupe de l’organisation et défend dur. Ce surplus de responsabilités l’aurait épuisé. Une fatigue qui influerait immédiatement sur son rendement offensif.
« Il n’avait plus de jambes et il était court sur ses tirs »,ajoute Smart.Au final, John Wall a terminé à 8/23 au shoot. Il reste forcément en partie responsable de cette performance.