« Cela signifie beaucoup pour moi », a-t-il confié au Boston Herald. « C’est dingue. Je ne sais pas si je suis meilleur que Doc mais c’est quelque chose d’énorme, surtout quand vous êtes en début de carrière et que vous essayez de vous faire un nom. Entendre ça de la part de quelqu’un de son calibre, avec un tel parcours, c’est très important pour moi. Je l’ai vu un peu jouer. Pas beaucoup mais c’est quelqu’un de courageux, un vrai compétiteur donc je me reconnais en lui. Je ne suis pas un meneur de jeu traditionnel donc nous avons vraiment beaucoup de choses en commun. »De quoi encourager le jeune meneur à poursuivre ses efforts pour marcher sur les traces de celui qui fût l'un des tous meilleurs défenseurs à son poste avant de devenir l'un des techniciens les plus compétents de la grande ligue.
« Mon but, c’est d’aider mes coéquipiers, de stopper mon adversaire », poursuit-il. « Je dois me demander : qu’est-ce ce que je dois faire quand l’un de mes coéquipiers a le ballon ? Est-ce que je suis bien placé ? Est-ce que je suis bien placé sur l’aide ? Est-ce que je peux dévier le ballon ? Est-ce que je préviens mon coéquipier quand quelqu’un pose un écran ? »Un discours qui plairait à coup sûr au coach des Clippers sous les ordres de qui le jeune Marcus Smart aura peut-être un jour la chance d'évoluer...