Puis Tim Duncan, avec un look et une coupe bien frais, a forcé un peu sa nature. "Juste une petite histoire, rapidement. Un jour Pop m'appelle pour me dire de regarder la Draft. Tous les ans, je dis que je ne vais pas la regarder. Je me retrouve dans mon canapé, à voir un mec dont je n'ai jamais entendu parler : (il prend une voix solennelle) Ema-nu-el Gino-bili'. Je dis à Pop : 'qui est-ce qu'on vient de prendre là ?' Il me répond de ne pas m'inquiéter. OK Pop, c'est ça... Il se pointe deux ans ans après, en plein été pendant un pick up game. Bruce Bowen le voit et décide de s'en occuper. Il lui fait chaque coup tordu possible, le pousse, l'attrape... Manu n'a pas cligné de l'oeil. Il n'a pas modifié son jeu ou pleuré. C'est là que j'ai su qu'on avait drafté un vrai joueur. Année après année, tu m'as impressionné Manu. C'était tellement plaisant de jouer avec toi et de s'asseoir avec toi pour regarder Pop marcher en se plaignant de ce que tu avais fait sur le terrain juste avant (rires). Tout ce que tu faisais, c'était du génie. Tu voyais les choses avant tout le monde. Tu faisais ce que personne ne pouvait faire. C'est un honneur d'avoir joué avec toi".It's official! No. 20 will live in the rafters forever.#GraciasManu pic.twitter.com/7Hl2KaoOBX
— San Antonio Spurs (@spurs) 29 mars 2019
Il nous manque, El Manu !#GraciasManu, por todo.
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