"C'est un secret. Je ne peux pas tout vous dire. Mais c'est un mélange d'intensité et de physique. Je me moque de savoir s'il est frustré mais j'espère qu'il l'est", souffle John Collins.L'intérieur des Hawks est dans le vrai. Cette alternance fait du mal à Randle et ce dernier a du mal à se rapprocher du cercle. Et Avec Clint Capela en aiguilleur du ciel, difficile de trouver un accès. Résultat, la construction du mur est presque terminée avec un mois d'avance. En trois rencontres, les chiffres sont dramatiques. 6/23 pour son entrée en matière, puis 5/16 et enfin 2/15 la nuit dernière. Ça nous donne 14 points de moyenne à 24% sur les Game 1 à 3. On est bien loin de 24 points en saison régulière. Il avait même réalisé l'une de ses plus belles perf's face aux Hawks cette année avec 44 unités. Là, on est bien loin de tout ça.
"Ils ont mis des shoots, nous non. Nous avons simplement à nous ajuster et ça le fera. Ça part de moi. C'est à moi de trouver un moyen de lire la défense plus rapidement", explique l'intéressé.Pour Derrick Rose, il faut simplement que les Knicks trouvent un moyen d'accélérer le jeu, eux qui ont fait un 0 pointé en fast break. Et qui dit fast break dit évidemment panier facile. Randle est particulièrement concerné puisque son jeu est trop statique et ne surprend pas la défense proposée par Nate McMillan. Si RJ Barrett est dans le même bateau, le jeu repose moins sur le sophomore, et surtout ce dernier rate des tirs ouverts. Un peu à l'image de son début de carrière NBA. "Je garde toute ma confiance en eux deux". Oui mais Tom Thibodeau attend néanmoins beaucoup mieux. Et le salut des Knicks ne peut passer que par eux. Surtout pour Julius Randle qui doit à toute sa ville une revanche. CQFR : Tatum en mode super-héros, les Clippers évitent le KO