Draft 2020 : les steals de la cuvée, de Deni Avdija à Nico Mannion

Tyrell Terry - 31e par les Dallas Mavericks

Kevin O'Connor de The Ringer considère l'arrivée du meneur de Stanford à Dallas comme LE steal de cette Draft 2020. Ce n'est pas pour rien. Entre le moment où il s'est présenté à la Draft et cette sélection par les Mavs, Terry a affiché des dimensions physiques revues à la hausse au niveau taille et masse musculaire. De quoi normalement lever les doutes sur sa capacité à être drafté au 1er tour et même un peu plus haut. Le Californien est un shooteur magnifique et un garçon au QI basket particulièrement élevé. Terry a d'ailleurs battu un record lors du test que font passer les scouts NBA aux futurs prospects sur ce point spécifique du QI. Malgré ces éléments de nature à rassurer les GM les plus sceptiques, personne ne s'est saisi de l'opportunité avant le pick n°31 et ce bon vieux Donnie Nelson. « Giannis avec Doncic, ça donne quatre ou cinq titres » Si Dallas a laissé partir Seth Curry à Philadelphie, c'est sans doute parce que les Texans savent que le garçon qu'ils viennent de drafter a le potentiel pour apporter au moins autant sur les shoot extérieur, mais aussi sans doute plus dans d'autres secteurs de jeu. Lors des semaines qui ont précédé la Draft 2020, Tyrell Terry a passé le plus clair de son temps à travailler avec Jeff Teague du côté d'Indianapolis. Le meneur vétéran, free agent cet été, a paraît-il été assez époustouflé de ce qu'il a vu de la part du meneur de 20 ans. Pour une équipe qui ambitionne de faire mieux qu'un 1er tour de playoffs, pouvoir compter sur une recrue aussi jeune et prometteuse est un atout certain. Il suffit de voir ce que le Miami Heat a pu tirer de Tyler Herro, lui aussi rookie, la saison passée...

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