« J’attends que tout le monde (staff, médecins, dirigeants) me donnent le feu vert », raconte-t-il au Philadelphia Inquirer.Mais les Sixers vont-ils vraiment relancer aussi rapidement leur meneur dans le cinq majeur ? La franchise affiche un bilan de une victoire pour six défaites en son absence… le genre de bilan qui se rapproche beaucoup d’une équipe candidate à la loterie que d’un outsider aux playoffs. Comme beaucoup d’autres meneurs, Michael Carter-Williams souffrent du genou, même si la nature exact de sa blessure reste floue (il a notamment été hospitalisé pour une infection bactérienne). Victime de gonflement, il joue un match puis se repose deux matches, et ainsi de suite.
« J’aimerais jouer tout le temps. Vous le savez. Même quand j’étais à l’hôpital, je voulais jouer. Mais c’est plus intelligent d’attendre que tout le monde me donne le feu vert. »C’est en effet un choix plus judicieux pour la santé de l’ancienne star de Syracuse mais aussi pour les plans à longs termes des Sixers. La franchise disposera de deux choix de draft au premier tour (en comptant celui des Pelicans – protégé top 3) et elle espère récupérer un joueur de la trempe d’Andrew Wiggins, Julius Randle ou Jabari Parker.