« Tout ne dépend pas de moi. Nous avons beaucoup d'autres armes en attaque avec Roy (Hibbert), David (West) et les autres. Nous n'avons jamais eu un seul gars qui prend les choses en main. Nous avons toujours été un collectif », a-t-il expliqué. « Le coach a toujours prêché pour le collectif, c'est la chose la plus forte que cette équipe possède. Ça sera toujours la façon dont nous jouerons, avec ou sans Danny. »Pour Franck Vogel, l'absence de Granger permet tout de même de donner plus de liberté à son jeune arrière même si il n'attend pas de lui qu'il devienne un top scoreur.
« Quand vous demandez à un joueur de prendre plus d'assurance dans sa sélection de shoots en lui donnant plus de liberté, vous voulez qu'il trouve ses marques, » a expliqué le coach. « Sur quelques matches il y est parvenu, mais ça n'a pas fait augmenter drastiquement son volume de points. Est-ce que ça l'aide lors des situations en fin de possession ? Je crois que oui. Tout le monde veut qu'il devienne un Kevin Durant en attaque. Mais ça ferait du mal à notre équipe car ce n'est pas la façon dont nous jouons. »On l'aura bien compris le mot d'ordre à Indiana c'est le collectif.