"Quoi qu'il se passe, je continue de vivre mon rêve. C'est assez fun de se retrouver là. Il y a un bon staff qui me permet d'exercer mon leadership auprès des jeunes. Quand je suis arrivé dans cette ligue, Gary Payton, Rashard Lewis et Elden Campbell tenaient ce rôle et je les écoutais. Ils m'ont passé le flambeau et c'est moi qui suis le plus âgé à Sacramento. Cette équipe avait besoin d'un vétéran".Mike Malone, son nouveau coach, n'a que des mots positifs à l'égard de Reggie Evans, a qui il offre 21 minutes de jeu en moyenne depuis son arrivée.
"Je pense que certains gars dans l'équipe ont peur de Reggie (rires). Il est connu pour être intransigeant et dur. Il a connu de très bonnes équipes. A la minute où il est arrivé dans le groupe, on a pu sentir qu'il inspirait le respect aux autres. Il a été excellent sur le terrain depuis qu'il est là. On savait qu'il pouvait défendre et prendre des rebonds, mais personne n'avait anticipé qu'il nous aiderait au scoring. C'est vraiment une super recrue".Reggie Evans découvre sa 7e franchise différente depuis sa sortie de la fac d'Iowa et son entrée dans la ligue en 2002 sans avoir été drafté. Il tourne pour le moment à 7.4 pts et 8.3 rbds par match, preuve qu'il peut encore s'avérer utile après avoir chauffé le banc des Nets. Son goût du combat et de la provocation est d'ailleurs intact. Le vieux Reggie a déjà réussi à faire sortir Ersan Ilyasova de ses gonds. L'ailier des Bucks a craqué l'autre jour, en repoussant sèchement l'ancien joueur des Raptors et en le projetant vers le sol. Essaiera-t-il de taper sur les nerfs de ses anciens coéquipiers new yorkais dimanche soir ? [youtube hd="0"]http://www.youtube.com/watch?v=Z3SSQNlte2o[/youtube]