Les 25 meilleurs joueurs NBA de moins de 25 ans

La NBA regorge de jeunes talents phénoménaux. On a tenté de classer les meilleurs de moins de 25 ans.

Les 25 meilleurs joueurs NBA de moins de 25 ans

20- Mikal Bridges (Phoenix ), 25 ans et 21 jours

Il est en train de devenir un redoutable two-way player, même s'il lui manque encore un peu de constance offensive (13.5 points de moyenne en 2021 quand même) pour prétendre frayer avec les meilleurs de la ligue. Bridges n'est en tout cas pas très loin de ce niveau-là et on l'a vu dans cette superbe campagne menée par les Suns la saison dernière. Il fait justement partie de ces joueurs dont on a envie de voir s'ils peuvent encore hausser un peu le ton pour changer de dimension, même s'ils sont déjà très utiles à leur équipe.

19- Anthony Edwards (Minnesota), 20 ans et 46 jours

Le vent de fraîcheur qu'il a apporté chez les Wolves et sur la NBA en général ne s'est pas seulement matérialisé sur le terrain. Après des débuts un peu poussifs, Edwards est monté en pression, enchaînant les gros matches au scoring et les actions spectaculaires. C'est aussi pour son insouciance et son absence totale de filtres, sur et en dehors du parquet, qu'on a aimé cette première saison en NBA du 1st pick 2021. Vivement la suite !

18- Lonzo Ball (Chicago), 23 ans et 328 jours

Lonzo Ball reste toujours une petite énigme en NBA. C'est peut-être seulement cette saison, sa première à Chicago, que l'on verra vraiment de quoi il est capable. Le Californien n'a malheureusement jamais réussi à faire une saison sans le moindre problème physique. Lorsqu'il a pu enchaîner les matches, on a vu un meneur très intéressant défensivement, bien plus fiable qu'on ne le pensait à 3 points et toujours solide en termes de playmaking. Les Pelicans regretteront peut-être de ne pas avoir réussi à le faire prospérer.

17- Dejounte Murray (San Antonio), 25 ans et un jour

Dans cette période si compliquée pour les Spurs, Dejounte Murray est ce qui se rapproche le plus d'un go-to-guy et d'un homme à tout faire. On n'utilisera pas le terme franchise player, même si le meneur a l'opportunité de montrer qu'il peut encore passer plusieurs paliers tant aucune superstar ne semble sur le point de rejoindre San Antonio. Lorsque son corps le laisse tranquille, Murray est une pile électrique capable de fréquemment signer des triple-doubles, tout en étant un excellent défenseur. Dans un contexte normal et bien entouré, rien ne dit qu'il ne devienne pas un top player sous les ordres de Gregg Popovich dès cette année.

16- LaMelo Ball (Charlotte), 20 ans et 29 jours

Le Rookie de l'année ne pouvait pas être beaucoup plus bas. LaMelo a surpris beaucoup de monde en n'étant pas le gamin déconnecté de la réalité et beaucoup trop fantasque que l'on pouvait redouter. Sur le terrain, le meneur des Charlotte Hornets a été un mélange parfait de créativité et d'efficacité. Le QI basket est là, le shoot aussi (alors qu'on l'attendait un peu en difficulté) et sans sa blessure les Hornets auraient peut-être fait mieux que barragistes. Michael Jordan et Mitch Kupchak ont vraisemblablement compris qu'ils tenaient là un joueur spécial qui pouvait être le chef d'orchestre de la franchise pour les années à venir. Reste à confirmer en saison sophomore, mais on ne se fait pas trop de souci pour lui.