Les 15 plus grands Super-Vilains de la NBA

Ils ont été les ennemis publics n°1 et ont eu du mal à se défaire de leur image en NBA. Voici les 15 plus grands Super-Vilains de l'histoire.

Les 15 plus grands Super-Vilains de la NBA

7- Charles Oakley

Oakley mérite bien des étiquettes : enforcer, chien de garde, bad boy, brute... Celle de super-vilain colle également, même si cela implique d'être quelque part numéro un de la discipline ou de la catégorie. A partir du moment où un joueur est celui qui inspire le plus la crainte physiquement dans la ligue, aussi bien chez ses adversaires que chez ses coéquipiers, l'étiquette n'est pas usurpée. Que ce soit pour mettre des gifles à ses rookies - coucou Scottie Pippen - des torgnoles à ceux qui voulaient égratigner Sa Majesté Jordan - ou simplement parce qu'un rival voulait répondre à son défi physique, "Oak" n'a jamais baissé la tête devant qui que ce soit et la terreur qu'il inspirait mérite bien de le faire figurer en bonne position de ce classement.

Là où Charles Oakley fait la différence par rapport à beaucoup, c'est qu'il quand même rester sacrément badass dans son après-carrière. Entre deux barbecues/poker avec MJ et la rédaction de ses mémoires, l'ancien intérieur a réussi à devenir wanted au Madison Square Garden et honni de James Dolan après une scène passée à la postérité où le service de sécurité a lutté pour l'expulser de la salle.

6- Dennis Rodman

Dennis Rodman fait partie de ces athlètes torturés à l'enfance et à la jeunesse difficile, qui sont passés pour de vrais sociopathes lorsqu'ils évoluaient en NBA. Que ce soit avec les Bad Boys, dont il était l'un des bras armés, ou avec San Antonio et Chicago, son jeu ultra-agressif a marqué les esprits. Son look et sa folie étaient évidemment du genre intimidants, comme pour tout super-vilain qui se respecte.

Les médias ne l'ont pas aidé à se départir de son image de rock star qui traitait le basket avec nettement moins de sérieux que d'autres multi-millionnaires. Son caractère non plus, lui que l'on a fréquemment vu user de coups de boule en match ou encore frapper un caméraman. Ses admirateurs lui pardonnaient tous ses excès, ses coéquipiers un peu moins. On ne gagne toutefois pas cinq titres de champion NBA et 7 trophées de meilleur rebondeur sans travail, ni talent.

Ce n'est tout simplement pas ce que Dennis Rodman, aka The Worm, avait le plus envie de montrer aux millions d'yeux qui l'ont observé pendant toutes ces années.