"J'ai été mené 1-3 en finales NBA. Donc je suis le dernier mec à qui il faut parler de déficit en playoffs", ripostait la superstar.
LeBron James écarte là le débat en une punchline. Mais dans l'idée, il n'a pas tort. Il est trop tôt pour paniquer aux Cavaliers. Les joueurs inexpérimentés vont par contre devoir vite prendre le plis. En playoffs, le sentiment d'urgence, il est presque permanent. Une défaite à domicile, ça peut être un accident. Deux, ça devient problématique.LeBron : « Je suis le dernier mec à qui il faut parler de déficit en playoffs »
LeBron James refusait de céder à la panique après la lourde défaite de ses Cleveland Cavaliers (80-98) contre les Indiana Pacers en ouverture des playoffs hier soir.
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