"C'est quelque chose que je ne souhaitais pas, ça a pris de grandes proportions. J'ai appris qu'il en avait pleuré et voulait venir me confronter. Son agent a appelé le mien, pour dire qu'il l'avait mal vécu. Je l'ai finalement contacté et lui ai dit que ce n'était pas personnel. Si j'avais su que ta mère était morte, je n'aurais jamais dit ça. J'ai une mère aussi et je n'aurais pas aimé que quelqu'un parle d'elle après sa mort. On a résolu le problème ensemble. Tout ça me vient de la rue. J'ai été dans trop de bagarres", a-t-il raconté sur Vlad TV.Podcast NBA trade deadline Jalen Rose avait déjà évoqué le côté sans limites de Gary Payton en matière de trashtalking, même lorsqu'il connaissait bien les joueurs visés.
"On jouait contre Seattle et on avait passé du temps ensemble avec Gary. Dix heures plus tôt on buvait des coups ensemble. Mais le mec m'insultait quand même de tous les noms, motherfucker par ci, par là, comme si on ne s'était jamais rencontrés. C'est le trashtalker le plus hostile que j'ai jamais rencontré et en plus de ça il n'hésitait pas à se bagarrer".Son rejeton, Gary Payton III, est nettement plus calme sur le terrain et n'a pas l'air d'avoir adopté cette spécificité du jeu de son paternel.