« Ils m’ont laissé dormir sur un table avant de me renvoyer à la maison sans vraiment penser quelque chose n’allait pas », a-t-il raconté dans un long entretien accordé à Vice Sports. « Le lendemain, j’ai découvert que je m’étais fracturé le plancher de l’orbite. Cela s’est ajouté aux raisons qui faisaient qu’il fallait que je parte. Ne serait-ce que pour ma santé. Je ne me sentais pas en sécurité, que ce soit au sein de la ligue ou à Milwaukee, après tout ça. »Dès lors, le joueur ne sentait plus en confiance au sein d'une franchise dont la priorité était selon lui de rentabiliser son énorme contrat.
« J’avais le sentiment que si quelque chose de similaire m’arrivait de nouveau, je n’aurais pas été bien pris en charge. On ne m’aurait pas fait les tests appropriés. Peut-être que ça aurait été ignoré et qu’on m’aurait mis la pression pour que je revienne sans même qu’ils abordent le problème. »Des déclarations pour le moins surprenantes quand on connaît la rigidité de la ligue en ce qui concerne le protocole de gestion des commotions cérébrales. Pas sûr en tout cas que cette dernière sortie médiatique de Larry Sanders l'aide à convaincre une franchise de tenter de miser sur lui d'ici l'ouverture de la saison régulière...