« Venez au panier et Larry est là. C’est ce qu’il a fait pour nous cette année. Ce genre d’action. D’après mon expérience NBA, je vois un peu de Tyson dans Larry. Quand j’étais à Chicago (assistant de 2004 à 2007 ndlr), Tyson était semblable dans le jeu, capable de réaliser une action décisive en fin de match, un gros contre ou une claquette », a comparé Boylan pour le Journal Sentinel.Larry Sanders a progressé c’est certain. Ou alors, un temps de jeu accru lui a simplement donné l’opportunité de se montrer. Quoi qu’il en soit, il entre désormais dans les candidats à la meilleure progression de l’année. Voire même pour le titre de meilleur défenseur, succédant ainsi à Chandler.
« J’ai appris il y a longtemps quand j’étais à Cleveland avec Wayne Embry (champion NBA 1968 avec les Celtics), l’importance de défendre son cercle et de ne pas permettre des lay-up faciles », se souvient Boylan.Il a trouvé en la personne de Sanders, l’homme capable de protéger l’accès au cercle. Mais le pivot des Bucks sait aussi se montrer efficace de l’autre côté du terrain.
« Offensivement, il rentre des claquettes et des dunks. De l’autre côté, il bloque des tirs et prends des rebonds. Vous faîtes bien ces deux choses-là et vous êtes un big man très efficace dans la ligue. »A sept victoires de ses poursuivants, Milwaukee est quasiment assuré de participer aux playoffs. Les Bucks restent sur quatre victoires consécutives.
Les stats de Larry Sanders cette saison
LARRY SANDERS SEASON AVERAGES |
Season | Team | G | GS | MPG | FG% | 3p% | FT% | OFF | DEF | RPG | APG | SPG | BPG | TO | PF | PPG |
12-13 | MIL | 52 | 36 | 26.4 | 0.518 | 0.000 | 0.585 | 3.0 | 6.1 | 9.1 | 1.1 | 0.7 | 3.2 | 1.2 | 3.6 | 8.9 |
Career | 164 | 48 | 17.6 | 0.478 | 0.000 | 0.555 | 1.7 | 3.3 | 4.9 | 0.6 | 0.6 | 1.9 | 0.9 | 2.7 | 5.6 |