« Vous devez essayer de vous débrouiller en obtenant des joueurs qui, lorsque les choses deviennent difficiles, quand ça devient compliqué, que vous commencez à piocher, ne se disent pas 'Eh, attends un peu. Je touche beaucoup d'argent, et là ça devient dur. Je n'ai pas besoin d'en faire plus'. Nous devons avoir des gars qui, lorsque ça devient dur, quand nous sommes dans une situation inconfortable, ne se posent pas de questions. Ils vont y aller, devenir plus durs et tout donner », a expliqué le coach des Wizards au Boston Herald au sujet des lacunes affichées par son équipe l'an passé. « Je pense que nous avons améliorer notre équipe sur ce point. »Mieux équilibrée, les résultats de la formation de la capitale fédérale américaine dépendront tout de même des prestations de sa star, John Wall. Auteur d'une saison décevante, malgré des statistiques toujours honorables (16.3 pts, 4.5 rbds et 8 pds), le meneur de 22 ans est attendu au tournant.
« C'est une très grosses année pour lui. Il est temps qu'il passe au palier supérieur », a poursuivi Wittman.Catastrophique aux shoots extérieurs (7.1% à trois points en 2011-12), l'ancienne superstar universitaire a durement travaillé ce compartiment du jeu cet été sur les conseils de son entourage tout entier. Un point positif pour Wittman.
« Ton frère te dit de faire chose. Ta mère te dit d'en faire une autre, tandis que ton agent te dit que tu es fou et que tu devrais plutôt faire ça. Je pense que John va en bénéficier car il jouait tout le temps en un-contre-un, il doit continuer à travailler pour se perfectionner ».A Wall de prouver qu'il a pu bénéficier d'un contexte privé plus apaisé pour améliorer un jeu devenu trop prévisible.