"Nous avons parler plusieurs fois. Il ne se sentait pas à l'aise", explique le coach légendaire. "C'est à 98,75% de ma faute. Le reste, c'est de la sienne. J'ai essayé de le changer. Je me suis souvenu quand Tim Duncan est arrivé. Les gens me demandaient ce que je comptais faire. Je répondais : 'rien, je vais le laisser jouer pendant six mois, le laisser faire ce qu'il veut faire et ensuite ajouter ce que je peux ajouter.' Avec LaMarcus, dès le premier jour, je lui ai dit qu'il devait faire ça ou ça. J'ai essayé de faire de lui un joueur différent et ça a affecté sa confiance. On lui a dit qu'on fera différemment et on lui a expliqué que c'était de notre faute."
Déjà d'une, Popovich est bien gentil de comparer Duncan à LaMarcus Aldridge... ce sont tout de même deux spécimen différents. Mais on a bien compris que la star des Spurs avait besoin d'être rassurée. Comme souvent. C'est l'un des traits de sa personnalité. Et c'est assez humain. Il n'y a pas de honte à ça. Mais maintenant que les Spurs ont changé leur approche, à lui de cartonner. Il a plutôt bien commencé en claquant 25 points et 10 rebonds contre Minnesota cette nuit.Les Spurs ont enfin compris comment faire plaisir à Aldridge
Gregg Popovich a cerné la personnalité de l'intérieur All-Star. Il a pigé qu'il fallait le mettre en confiance et lui donner de l'attention.
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