Voilà qui ne va pas rajeunir les fans de la NBA des années 90. Andrej Stojakovic, le fils du grand Peja Stojakovic (ex-Sacramento et Dallas, champion 2011 et tireur d'élite), est en train de devenir l'un des jeunes joueurs les plus intrigants et prometteurs du pays. L'ailier de 18 ans a annoncé cette semaine son choix de s'engager avec Stanford, après avoir refusé des offres de UCLA, Texas et Oregon.
Stojakovic a vu sa cote de poplarité exploser ces derniers mois, entre ses débuts en high school au lycée Jesuit de Carmichael et ses performances en AAU avec le Compton Magic. Initialement hors du top 100 d'ESPN, le joueur de 2 mètres est aujourd'hui 23e parmi les prospects de la classe 2023. Et a priori, il ne compte pas faire retomber la hype. Ses qualités techniques, son shoot - les chiens ne font pas des chats - et sa capacité à se déplacer vite et bien sur le terrain devraient faire des dégâts en NCAA.
Stanford a un programme universitaire de plus en plus ambitieux, avec une capacité de plus en plus importante à recruter des lycéens référencés, comme l'étaient Zaire Williams en 2020 ou Harrison Ingram en 2021. En plus d'Andrej Stojakovic, Stanford a signé Kanaan Carlyle d'Overtime Elite.
🚨 Andrej Stojakovic has committed to Stanford‼️ @slam_university @AndrejSto2 pic.twitter.com/oO3yH5iGkz
— SLAM HS Hoops (@SLAM_HS) November 7, 2022
Parmi les conseils que lui donne son père, trois fois All-Star en NBA, celui qui a le plus marqué Andrej, comme il l'a expliqué au micro de Rivals : "Même si tu as l'impression d'être fatigué, tu ne l'es pas. La fatigue, c'est dans la tête".
Crossovers, tirs sur un pied : Les highlights de Victor Wembanyama affolent la NBA