« Ne vous y méprenez pas. Jamais je n’arrêterai de plaisanter », rappelle-t-il au Chicago Tribune. « C’est comme ça que je suis. Mais maintenant je sais qu’il y a des moments faits pour rigoler. J’ai compris quand il faut travailler dur et quand il faut se détendre. »Fesenko a signé un contrat non-garanti avec Chicago. Il doit maintenant profiter de la présaison avec les Bulls pour convaincre Tom Thibodeau de le conserver.
« J’aime beaucoup Coach Thibs. Il vraiment dur avec nous. Mais quand nous faisons une pause pour boire, il est OK pour partager quelques blagues. C’est plutôt cool. Je le regarde et j’essaie de prendre tout ce que je peux. Un joueur défensif avec un coach à l’esprit défensif, qu’est ce que je pouvais souhaiter de mieux ? »En rejoignant Windy City, Fesenko a retrouvé Carlos Boozer qu'il a côtoyé lors de ses débuts en NBA à Salt Lake City.
« Il est un peu plus mature maintenant. Il est très athlétique. C’est un super mec à avoir dans les vestiaires, il a un grand sens de l’humour. Il est très grand, mais il sait bien jouer avec son poids dans ses déplacements. Il peut beaucoup nous aider. »Le pivot ukrainien va devoir maintenant démontrer qu'il est autre chose qu'un coéquipier idéal. Il est déjà conscient de l'opportunité qui lui est offerte de gagner sa place dans une franchise aussi prestigieuse que les Bulls.
« J’ai de la chance de jouer pour les légendaires Bulls, la seule équipe que tout le monde connaît en Ukraine. C’est vraiment un cadeau. Je suis prêt à faire plus qu’il n’en faut pour y parvenir. A ce stade de ma carrière, la préparation c’est quelque chose de très important. Ce sera peut-être une grande année pour moi. »