"La question la plus importante, c'est : que voulez-vous accomplir tout au long de votre carrière ? Car l'argent, si Kristaps joue à son niveau habituel, ça viendra forcément. Nous sommes concentrés sur d'autres valeurs. Le but n'est pas de signer un contrat le plus rapidement possible pour collecter de l'argent. Les Knicks doivent faire face à la réalité. De leur point de vue, Kristaps est au cœur de tout pour l'instant et donc il vaudrait mieux ne pas trop le contrarier car il risquerait de se dire que ce n'est pas cool ici. La deuxième question, c'est : pourquoi les New-yorkais vont au match ? Essentiellement pour Kristaps. L'organisation doit aussi prendre ça en compte."
Waouh. Le coup de pression est vraiment sanglant quand même. D'un côté, il fait comprendre qu'il est préférable de ne pas trop faire chier Kristaps Porzingis. De l'autre, il rappelle aux dirigeants que le seul motif d'espoir à New York, le seul joueur qui fait fantasmer les supporteurs, c'est son frérot. Et enfin, il semble faire comprendre que le camp du bonhomme serait prêt à ne pas signer une extension à l'issue de son contrat rookie. Et donc à accepter une éventuelle qualifying offer pour se retrouver free agent dès 2020 ? Bref, peut-être que ce n'est que du bluff. Peut-être que Kristaps signera pour cinq avec les Knicks dès l'automne 2018. Mais les dirigeants ont quand même intérêt à se bouger. Au cas où.Le frère de Porzingis met une vraie pression aux Knicks
La franchise de la grosse pomme va vraiment devoir se bouger pour convaincre le Letton de rester à bord.
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