« Je n'ai rien dit de mal. Je n'ai rien dit pour lui mettre un coup derrière la tête ou pour m'en prendre à lui. Ça a été monté de toutes pièces. Je l'aurais reconnu si je m'en étais pris à quelqu'un. L'urgence, c'est une musique que nous jouons depuis le début, c'est ce que nous martelons depuis le début », a-t-il expliqué à ESPN Los Angeles.Bryant n'a pas indiqué en revanche que ses paroles avaient été sorties du contexte mais est allé voir Howard pour lui expliquer que son intention n'était pas de s'en prendre à lui. Interrogé sur la situation et sur le fait de savoir s'il aurait pu mieux gérer la relation entre les deux joueurs, Mike D'Antoni a préféré botter en touche.
« Nous n'allons pas dévoiler dans les médias ce qui se passe dans le vestiaire ou comment je devrais coacher. C'est notre problème. Tout le monde veut qu'il y ait des histoires. Tout le monde veut écrire son article. Mais l'attention devrait être sur nos victoire ou nos défaites et la façon dont nous jouons », a indiqué D'Antoni. « Nous allons nous asseoir avec les joueurs, nous nous asseyons avec eux tout le temps. Je ne vais pas le sortir dans les médias. Je ne pense pas que ce soit bien. Je ne me souviens pas d'une équipe où j'ai été qui a déjà fait ça et je suis surpris qu'ici ,à L.A, ça semble être la norme... Ce n'est pas bien. »Mike D'Antoni a terminé en indiquant qu'il pensait qu'il n'y avait pas de problèmes de communication au sein de son équipe.