« C'était excitant. Croyez-le ou non, vous vous mettez à être spectateur de ce qu'il est en train de faire au lieu de faire ce que vous êtes supposés faire. C'est un peu ce qui s'est passé. C'est l'influence qu'il a eu sur ce jeu », raconte-t-il au Boston Globe.Kevin Garnett explique qu'il a rarement été fan d'un joueur qui jouait en même temps que lui sur le terrain. C'est quelque chose qui est réservé aux plus grands.
« Jordan, son influence sur le jeu était tellement énorme et tellement soulignée... A un moment, tout le monde était à fond dans ce que Jordan faisait, en essayant de le copier, de reproduire ce qu'il faisait », explique-t-il. « C'est probablement la même chose quand Dr J ou Larry Bird sont arrivés. Quand vous regardez quelqu'un comme ça, vous devenez fans, et vous vous rendez compte que vous oubliez un peu un truc : 'Yo, tu l'as face à toi dans ce match'. C'est comme ça que ça se passe. »Interrogé sur la comparaison entre Michael Jordan et LeBron James, pour lui, elle n'a pas lieu d'être.
« Des pommes et des oranges. Tous les deux sont dominants, dans le passé et le présent mais ce sont deux époques différentes. »