"La ligue avait un programme et on n'était pas dedans. Tu comprends ? C'est comme ça qu'ils ont fini par gagner cette série. Voilà, c'est dit. Sur l'agenda, c'était Miami. C'est une question sensible pour nous. Les gens disent que ce n'est que du sport. Mais là si tu mettais D-Wade, LeBron et Bosh dans la même pièce que moi, Tony Allen, Rajon Rondo et Paul Pierce, on se dirait 'Quoi de neuf ?', il y aurait du respect, mais on ne fraterniserait pas. On ne se demanderait pas des nouvelles de nos familles, tout ça... C'est la vérité. Ils ne viennent pas nous faire chier et on ne vient pas les faire chier".
LeBron James, MVP de la saison régulière et des Finales, n'était d'ailleurs pas une immense source de préoccupation pour Kevin Garnett et ses camarades avant de rejoindre Miami."On n'en avait rien à foutre de LeBron. On n'avait pas peur de lui et on ne pensait pas qu'il pouvait nous battre nous cinq. On a bousillé LeBron. S'il a rejoint une team, c'est parce qu'il ne voulait pas que la pression soit sur lui".
En 2012, les Celtics s'étaient inclinés 4-3 contre Miami, finalement victorieux en Finales un peu plus tard après avoir vaincu Oklahoma City.“We broke LeBron. So get your a** out of here with that.” Watch to find out what exactly @KevinGarnett5KG is referencing. #BSPodcast pic.twitter.com/VwEfLwLyfj
— The Ringer (@ringer) December 18, 2019