"Je pense que je suis l'une des personnes qu'il vise. Il parle des 'beatwriters', donc ce doit être Brian Windhorst, Dave McMenamin, qui seraient des fans des LeBron en même temps que des commentateurs. Je veux demander quelque chose à Kevin Durant. Comment ne pas être fan de LeBron James ? C'est une histoire purement américaine d'un incroyable succès, avec des chances de réussite au départ inimaginablement faibles. Ce gars a eu sur ses épaules une pression jamais vue auparavant et une attention médiatique dont Durant n'a eu à connaître que 10% lorsqu'il est allé à Golden State. Et encore, il s'est senti écrasé par celle-ci".
Et Nick Wright d'enfoncer le clou, pointant du doigt une forme de jalouse chez le MVP des deux dernières Finales NBA."LeBron n'a jamais fait la moindre erreur en public. La seule qu'il a pu commettre, The Decision, a généré 3 millions de dollars pour des oeuvres de charité. Il a choisi ses amis d'enfance pour l'aider à gérer son business. Il a littéralement créé une école et a financé les études de 1 200 jeunes pour leur accès à la fac. Je suis fan de LeBron James, absolument. Et pourquoi ne le serais-je pas ? Il s'est créé le meilleur CV de l'histoire pour ainsi dire. Personne n'a eu cet impact sur le plan sportif, social et politique depuis Kareem Abdul-Jabbar. Quand "KD" parle d'un environnement toxique, je ne comprends pas. Qu'est ce qui est toxique, à ce sujet ? Je pense qu'il y a de la jalousie de sa part parce que c'est un très grand joueur qui ne déclenche pas la même adoration. Il ne l'a pas méritée".
Voilà qui ne va pas faire changer Kevin Durant d'avis sur les "fanboys" en question...