"Quand vous obtenez une occasion de choisir votre environnement, vous voulez être stable, avoir les bonnes personnes autour de vous et travailler avec des gens formidables. Voilà comment c'est à Oklahoma City."Même si le 1er juillet, date officielle de l'ouverture du marché, est encore loin, il va quand même devoir réfléchir à la question tôt ou tard :
"Tout le monde va me demander mais bien-sûr que je vais devoir y penser. Tour ce que je que je peux vous dire, c'est que c'est bon de se sentir voulu".KD est même allé plus loin en parlant de son avenir en évoquant une possible carrière de dirigeant de franchise après sa retraite :
"Lorsque ma carrière sera terminée, je souhaiterais devenir dirigeant. Et il est certain que je parlerais avec mes meilleurs et mes coaches pour sentir les choses et prendre une décision moi-même. C’est ce que nous faisons à Oklahoma City. Avec Sam Presti, nous avons une excellente relation mais je ne prends pas les décisions et je lui fais confiance, quels que soient ses choix. Et il a confiance en moi en tant que joueur".Ce qui fascine Durant dans ce travail si difficile, c'est la globalité de la chose, entre les joueurs, l'argent et surtout la cohésion de l'équipe :
"En tant que joueur, je connais la vie en NBA et je sais ce que ça représente de monter une bonne équipe. Ça serait super de faire ça. Évidemment, c’est sans doute plus de travail que je ne l’imagine, mais quand on regarde de l’extérieur, gérer l’argent et monter une équipe cohérente dans le jeu, ça doit être sympa comme boulot."Certes, dis comme ça, on a l'impression qu'il prendra en main une équipe dans le mode GM de NBA 2K. Mais on ne demande qu'à le voir dans cette fonction dans une quinzaine d'années, et pourquoi pas revivre la situation qu'a connu OKC lorsqu'il a fallu trader James Harden pour voir la décision qu'il aurait prise.