« Ce que je dirais à chacun de ces jeunes c’est : travaillez dur et soyez respectueux. En premier, agissez en aimant le jeu. Ce n’est pas un concours de mode. Ne jouez pas salement, mais jouez dur. Votre carrière va passer en un clin d’œil. On pense tous qu’on va jouer indéfiniment.
Quoi qu’il arrive, prenez bien soin de votre argent, parce que votre dernier chèque – et je me fous de savoir s’il vaut 30 millions – c’est votre dernier chèque. Entourez-vous de gens en qui vous pouvez avoir confiance, qui ne servent pas leur intérêt propre et profitez de chaque instant. »
Des conseils pleins de sagesses que de nombreux de vétérans NBA feraient bien de suivre eux-mêmes. En prime, Karl Malone a réaffirmé son dégoût pour le basket AAU et ses effets sur le jeu actuel.« J’en ai tellement marre du AAU. C’est un gouffre financier. Ça n’aide pas la NBA. Tu peux faire beaucoup plus progresser tes gamins en trouvant un coach qui leur donne des conseils en tête à tête qu’en les faisant jouer ce style où tout le monde bouffe la balle. »
En revanche, il semblait heureux de voir que les joueurs du Utah Jazz avait gardé le même sens du collectif et de la camaraderie que lorsqu’il était le franchise-player inamovible du club.« Ce groupe de gars aime jouer ensemble. Quand tu aimes tes coéquipiers, tu joues plus dur et tout le monde tire vers le haut. »
Bien dit !