« Je pense qu’Andrew a toujours eu le potentiel pour bien aider une équipe quand il y met son cœur. C’est juste qu’il ne semble pas être constant dans son engagement et son implication dans le jeu. Ça peut mener à beaucoup de frustrations pour n’importe quelle équipe qui l’a signé. Quand je travaillais avec Andrew, je trouvais qu’il était brillant et travailleur, mais je pense qu’il a fini par s’ennuyer à cause de la nature répétitive du travail des fondamentaux du basketball, chaque jour… mais ils sont la clé du succès à long terme. A mon avis, Andrew est quelqu’un de décalé, qui fonctionne différemment des autres. Donc on ne connaîtra pas les faits avant qu’Andrew ne décide de nous dire ce qu’est exactement l problème et qu’il partage ses pensées. »En gros, il se demande si le Cavalier aime vraiment le basketball. Ce n’est pas la première fois qu’il remet en doute le cœur et l’implication d’Andrew Bynum. En 2012, il avait déjà taclé son ancien élève :
« Andrew a été irrégulier (dans sa volonté de gagner). Il y a des fois où il veut jouer, fait un excellent travail, et quand il rentre sur le terrain il est très bon. Et il y a des fois où il donne tout simplement l’impression qu’il n’a pas envie. Quand j’ai commencé à travailler avec lui, il voulait apprendre. Il appréciait le fait que je l’aide à apprendre plus vite. Une fois qu’il a considéré qu’il avait appris tout ce qu’il voulait, il ne voulait plus que je l’embête à revenir complètement sur les fondamentaux. »S’il n’a plus travailler avec lui depuis 2009 et si on peut se demander ce qu’il connaît d’un joueur avec qui il n’a plus été en contact depuis 4 ans, les faits aujourd’hui ne lui donnent pas totalement tort.