"Je ne suis pas surpris par ma réussite. Si je suis aussi confiant, c'est parce que j'ai travaillé comme il fallait. Je sais à quel point j'ai bossé dur l'été dernier pour progresser en tant que shooteur. C'était de l'ordre de l'obsession. L'intersaison a été longue à cause de tout ce qui s'est passé, mais je ne peux pas dire que ce que je suis capable de faire m'étonne. Quand tu consacres le temps qu'il faut à quelque chose et que tu fais les efforts, c'est comme ça que doivent se passer les choses".En 4 ans, les cancres de la NBA sont devenus les patrons, un espoir pour les Knicks ? Tom Thibodeau, forcément ravi de la forme de son joueur majeur, l'a encensé dans les mêmes colonnes.
"Julius Randle avait déjà tout le reste. Ajouter le tir à 3 points à sa panoplie a changé les choses pour lui, mais aussi pour notre équipe. Avoir un poste 4 capable de s'écarter est une obligation en NBA aujourd'hui. [...] La manière dont le ballon part de sa main, l'effet, la trajectoire, tout est différent. Il shoote avec confiance et continue de travailler dur là-dessus. C'est un fantastique bosseur et un playmaker".Pourvu que ça dure pour les Knicks, toujours en course pour décrocher leur premier spot en playoffs depuis la saison 2012-2013.