"Je suis sans béquilles. Je marche, juste pour essayer de retrouver de la force dans ma jambe. Honnêtement, je ne sais même pas si je suis censé être sans les béquilles. Le médecin m’a dit d’aller à mon rythme. Mon rythme c'était de m'en débarrasser", a expliqué Julius Randle au LA Times.Pour occuper son temps, le jeune homme visionne énormément de vidéos des plus grands joueurs à son poste : Kevin Garnett, Tim Duncan, Dirk Nowitzki, Charles Barkley ou encore Antonio McDyess. Son but est de faire de cette expérience négative un élément positif pour le reste de sa carrière. Avec cet objectif en tête, il est d'ailleurs souvent présent au centre d'entraînement des Lakers :
"Il y a des choses sur lesquelles je dois travailler, notamment en regardant comment les gars prennent soin de leurs corps lors de la saison, des petites choses qui m’aideront la saison prochaine. L'atmosphère de la compétition me manque, aller à la guerre avec mes coéquipiers aussi. C'est comme une fraternité, et donc c'est d'être en retrait et de juste regarder, mais j'apprends beaucoup grâce à cette épreuve."Même s'il n'a joué que 13 minutes sous les couleurs des Angelenos en NBA, Julius Randle incarne l'avenir des Los Angeles Lakers et son retour la saison prochaine sera très important pour le rendement de la franchise sur les années à venir.